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Zoolander 2 Critiques

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vendredi 12 février 2016 à 11h57

#hasbeen

Pauvre
Elizabeth Lepage-Boily
Elizabeth Lepage-Boily

La qualité de l'humour du premier Zoolander se trouvait principalement dans l'hyperbole, mais cette figure de style en est une particulièrement fragile, il ne faut qu'un faux pas et déjà on tombe rapidement dans le « gros n'importe quoi ».

La qualité de l'humour du premier Zoolander se trouvait principalement dans l'hyperbole, mais cette figure de style en est une particulièrement fragile, il ne faut qu'un faux pas et déjà on tombe rapidement dans le « gros n'importe quoi ». Un exemple? Un mannequin qui arrête une étoile ninja avec un look, c'est exagéré, quatre personnes qui arrêtent en concomitance une bombe avec ce même look, c'est n'importe quoi. Et il y a des dizaines d'exemples de la sorte dans Zoolander 2, des moments où on se dit : « Mais, quessé ça?! ».

Comme dans le premier chapitre de la franchise, Zoolander 2 met en scène de délicieux caméos (dont je ne vous révèlerai pas l'idendité) qui tirent leur lot de sourires et de rires, mais était-ce nécessaire qu'il y en ait autant? On retrouve un visage connu dans presque chaque séquence. Il était primordial que le film exploite cette branche comique, mais les efforts déployés en ce sens semblent avoir été faits en dépit de d'autres, plus importants, comme l'élaboration d'un scénario conséquent.

L'histoire possède certaines qualités (notamment celle de faire de Zoolander et Hansel des has-been qui réintègrent un monde de la mode ayant considérablement changé depuis leur dernier défilé), mais ce sont davantage ses défauts qu'on remarque. Une prophétie de l'élu; du mannequin originel, un tueur en série de popstars (une trame narrative rapidement abandonnée, d'ailleurs, au profit d'une quête père-fils navrante) et une fontaine de jouvence (qui nous rappelle le dernier Pirates de Caraïbes) : rien de suffisamment substantiel pour attirer et retenir l'intérêt du public.

Malgré le fait que le nouveau film de Ben Stiller est bien loin de rejoindre les attentes des fans, il parvient tout de même à nous dérider à plusieurs reprises. Ce sont davantage des clins d'oeil qui atteignent leur cible, plus que les situations de la trame principale, qui sont lamentables, pour la plupart. Derek Zoolander en centaure dans une publicité de lait corporel, par exemple, est une conjoncture suffisamment déjantée (et pas trop stupide) pour nous amuser sans nous décourager. Même chose pour quelques situations mettant en scène des objets considérés d'avant-garde dans le premier film qui se sont avérés absurdes dans le futur (les téléphones sont, entre autres, devenus plus gros, au contraire de ce qu'avançait le mannequin Zoolander avec son portable miniature dans le premier chapitre).

Il faut aussi mentionner que la version française est pitoyable. Paramount Pictures semble avoir décidé de ne plus faire traduire ses films au Québec et de prendre systématiquement la version de nos cousins pour le marché québécois; une grave erreur. Énormément de gags ne passent pas ici quand les personnages emploient le langage soigné des Français. Si la chose est possible, on vous conseille donc la version originale anglaise.

Le film Zoolander est un de mes péchés mignons. J'aime ce mannequin abrupti qui croit que la maquette d'un projet immobilier est trop petite pour accueillir de vrais gens et que pour trouver des dossiers dans un ordinateur, il faut physiquement l'ouvrir. De le retrouver dans une suite aussi précaire me chagrine. Ça me fend le coeur de l'admettre, mais peut-être aurait-on dû abandonner l'idée d'un deuxième film et laissez Zoolander reposer en paix dans son Centre Derek Zoolander pour les enfants qui lisent pas génial...

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