28 ans plus tard

Exploration rationnelle (et parfois émouvante) d’une prémisse fantastique. Caméra et montage inventifs. Distribution convaincue et convaincante.

S’il comprend son lot de poursuites aussi haletantes qu’angoissantes et de carnages sanglants à souhait, 28 Years Later s’éloigne du spectaculaire et ambitieux 28 Weeks Later, de Juan Carlos Fresnadillo, pour retourner à l’essentiel : l’humain, la famille, la communauté.

Le suspense trépidant des scènes dites d’action cloue le spectateur le plus blasé sur son fauteuil.

À l’instar du virus en question, qui a évolué, le bien nommé 28 Years Later (28 ans plus tard) s’avère une mutation concluante de différents genres.

Le patriotisme anglais y est évident par la bannière de Saint-Georges qui y flotte, par les rappels des anciens faits d’armes et par la tension inhérente au labeur du fantassin que provoque les extraits du poème Boots de Rudyard Kipling.

28 ans plus tard reste une œuvre solidement construite, maîtrisant à la fois l’atmosphère anxiogène et la construction de ses personnages.

Still, I found myself somewhat deflated by the movie—and it’s a similar issue I had with the first. In both 28 Days and 28 Years Later, Boyle and Garland masterfully evoke the world of the infected.

In the wake of a decades-long wait for more, 28 Years Later still proves that it hasn’t run out of things to say about the duality that is human nature facing the end of life on Earth. In its radically transformed world, Danny Boyle and Alex Garland’s horror homecoming revisits the themes it’s always held in its tender but frightening heart.

So prepare for more gruesome kills, more gross-outs, more insight into how a society might actually look a generation after an unfathomable event. These movies are clearly infectious.