Nouveau départ raté?
28 Years Later est un film qui ose sortir des sentiers battus, quitte à dérouter. Il ne cherche pas à plaire à tout le monde, mais à proposer une vision d'auteur dans un monde post-apocalyptique. Cette vision est plus intime, symbolique et philosophique. Cependant, la série a sa propre marque de fabrique et trouve sa force dans l'intensité des situations et des scènes d'horreur/action qu'elle propose. C'est là que le bat blesse car les 2 fils précédents nous avaient tellement marqués et cloués dans nos sièges que les attentes sont déçues. Avec ce 3ème opus, vous risquez d’être frustré par la molesse du rythme qui brise la tension en permanence des rares scènes d'action dont l'effet recherché est raté. On ressent le déjà-vu dans ces scènes de zombies réchauffées et fades. D'autant plus qu'il y a beaucoup de bonnes idées notamment sur les zombies et l'évolution du virus mais qui sont survolées et jamais développées. Mais si vous êtes prêt à accueillir une œuvre expérimentale et émotionnelle, vous pourriez y trouver votre compte.
Décevant
Faire ci peu avec tant de possibilité, long et lent........ Manque de punch
Trop de rien
Les solutions trouvées pour les situations problématiques étaient faibles. Manque d'intelligence et de cohérence. J'ai moins aimé les séquences de mise à mort des contaminés. Des séquence de flash qui font vieux film mal fait. Niveau ambiance sonore, c'est positif pour moi.
Un très bon film d' horreur dramatique .
Un très bon film réussi.
Pas besoin de voir les deux premiers films pour comprendre l' histoire .
Je n'ai pas vu les deux premiers films , et j' ai parfaitement compris l' histoire .
Une histoire bien . Un bon scénario .
Un mélange de film dramatique avec beaucoup d' émotions intenses , de film d' horreur / actions , avec des scènes d'actions spectaculaires et impressionnants , et avec du suspens intenses .
Étant une grande partie un film dramatique , avec une bonne histoire , on ne voit pas les zombies sans arrêts , pendant tout le film , il n'y a pas d' actions sans arrêts , mais on ne s' ennuie pas du tout , l' histoire étant bien , on n'est pris par l' histoire et les émotions intenses .
Un film complet
Je suis allé voir ce film à reculons. Je me disais "Encore une suite qu'on impose à un film déjà complet en lui-même, juste pour faire de l'argent!" C'est effectivement le cas. Et je m'attendais à l'histoire classique des films de montres : un groupe d'aventuriers se retrouve plus ou moins par erreur en terre hostile, puis les personnages meurent l'un après l'autre jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un ou deux survivants.
Eh bien! j'ai été agréablement surpris. "28 ans plus tard" tient plus du film d'errance que du film d'horreur. Il contient quelques invraisemblances (l'enfant et sa mère n'auraient jamais pu survivre une heure sur le continent), mais on en trouve dans tous les films de zombies. Le scénario porte à réflexion et il contient une certaine poésie. C'est une histoire complète avec un début, un milieu et une fin. On n'a pas besoin d'avoir vu les opus précédents. Elle aurait probablement été meilleure si on l'avait sortie sous un autre nom.
Petit bémol : ce film est le premier d'une trilogie. Il semble qu'on ne peut plus rien proposer aux spectateurs sans que ça vienne en franchise!
Attentes trop élevées
Ouf pure perte de temps, une chance que je l ai vu un mardi pm, salle composée en majorité de gens assez âgées. Rie
Se perdre en chemin
Je voulais aimer ça. J’avais lu de mauvaises critiques. Je savais que la 2e partie était plus «audacieuse» sur le plan thématique, mais j’étais dans une salle climatisée par une journée de canicule, rien ne pouvait entamer mon enthousiaste. Sauf peut-être…la 2e parie. J’ai essayé d’y croire, je vous jure ! J’ai schématisé, j'ai thématisé, intellectualisé le rapport à la mère. Rien à faire : j’ai jeté le bébé avec l’eau du bain…désolé.
La 1ère partie est excellente. La relation père/fils est bien développée, juste assez complexe pour être crédible. Aaron Taylor-Johnson en impose. Il veut que son fils apprenne à tuer des infectés, il veut en faire un chasseur. Ça marche à fond car le monde qu’ils explorent est plus complexe que ce qu'en pense le père et ce décalage est immersif.
La 2e partie concerne la relation mère/fils. Autant le père s’incarne dans ses imperfections, autant la mère est iconisée, déifiée par sa souffrance. C’est beau sur le papier, mais laborieux à l’écran. La vérité des personnages s’effrite, le jeune se transforme en Kraven the Hunter trop vite. Entre les pertes de mémoire de la mère et ses gestes héroïques, Jodie Cormer s'y perd Le mythique médecin incarné par Ralph Fienne est un croisement entre le Colonel Kutz et Obiwan Kenobe. On passe de 28 jours plus tard à un film Disney qui ne s’assume pas.
J’imagine Alex Garland pleurer dans un coin et Danny Boyle lui répéter :«Non mon grand, je ne te laisserai pas gâcher mon film avec tes obsessions». La masculinité toxique du début s’avère touchante et sincère, beaucoup plus vraie que la relation dépeinte ensuite avec la mère. Le féminisme exacerbé de Garland devient son talon d’Achille. Cela dit, la première partie du film vaut le détour. À vous de voir.
Quand Boyle se surpasse et se dépasse.
Dans le genre suite que l’on n’attendait pas (dans tous les sens du terme), 28 ans plus tard se pose là. Mais le duo initial à la barre (Alex Garland au scénario et Danny Boyle à la réalisation) réinvente le premier opus et le surpasse grâce à une ribambelle d’idées folles, aussi bien dans la narration que dans la mise en scène. Encapsulé entre un prologue et un épilogue dingues, le film ose tout et se positionne comme l’un des meilleurs (si ce n’est le meilleur) films de zombies de la décennie. L’horreur est extrême et graphique, et paradoxalement ancrée dans des paysages naturels d’une splendeur stupéfiante.
Retrouvez ma critique complète sur le site spécialisé Le Mag du Ciné:
https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/28-ans-plus-tard-danny-boyle-critique-film-10076866/