Mission : Impossible - Bilan final

Conclusion et bilan d'une série comptant huit films. Scénario inégal culminant sur une finale époustouflante. Réalisation peu inspirée. T. Cruise plus casse-cou que jamais.

Mais, à l’instar de son acteur vedette, The Final Reckoning s’efforce tellement de se faire aimer qu’il finit par nous épuiser.

Pas de doute, les amateurs invétérés de Mission: Impossible se pâmeront... tout comme les adeptes de divertissements d’action qui ne pourront qu’admirer la maîtrise de Tom Cruise, de Christopher McQuarrie et de toute l’équipe.

Bref, ce huitième opus de la franchise lancée il y a 30 ans à partir des bases de la série télévisée créée en 1966 par Bruce Geller — annoncé comme le dernier passage de Tom Cruise dans la peau d’Ethan Hunt — remplit sa mission.

L’emploi de nombreux flash-back dans les premières quarante-cinq minutes dont certains auraient pu être éliminés ralentit la montée de l’intrigue qui s’attaque à la mainmise de l’intelligence artificielle sur de nombreux aspects de nos existences.

Sans surpasser les sommets atteints par Répercussions ou La Nation Rogue, Bilan final offre une conclusion satisfaisante, à la hauteur des attentes des fidèles de la première heure.

While perhaps a bit over-the-top in how the series now feels like it’s taken a hard sci-fi twist from the relatively grounded spy franchise it once was, no one can deny that The Final Reckoning is entertaining, with a few caveats.

And to put a more familiar spin on things, I firmly believe that you should choose to accept this mission.

Somehow, The Final Reckoning is 170 minutes, but, like Tom Cruise running across Westminster Bridge, it zooms. Even the acres of baffling dialogue are delivered swiftly.