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Le Hobbit : La désolation de Smaug

v.o.a. : The Hobbit: The Desolation of Smaug
Bilbon Sacquet et les Nains continuent leur quête vers la Montagne Solitaire. Les trolls sont à leurs trousses alors qu'ils s'engagent dans la dangereuse forêt de Mirkwood. Attaqués par des araignées géantes puis capturés par les Elfes, ils s'évadent et sont sauvés grâce aux talents au combat de Legolas et de Tauriel. Pendant ce temps, Gandalf est sur la piste de la force sombre qui prépare secrètement son retour à Dol Guldur. Après un passage à Bourg-du-Lac, les Nains découvrent la porte secrète qui leur donne accès à la montagne. Bilbon doit alors fouiller le trésor afin de retrouver la Pierre Arcane, sans réveiller le dragon Smaug.
Distribution
Scénarisation
Production
Réalisation
Distributeur
- Warner Bros. Canada
Studio
- WingNut Films
- New Line Cinema
- Metro-Goldwyn-Mayer (MGM)
Bandes-annonces & Images






































































































Revues de presse
Médiafilm
En outre, la dimension humaine de cette fable sur le courage et l'affirmation a été négligée, avec pour effet de rendre les séquences d'affrontements presque mécaniques et les péripéties parfois répétitives.
Helen Faradji Lire la critique complèteLa Presse
Oui, d'une durée de presque trois heures, le deuxième volet de The Hobbit est trop long. Mais comme Peter Jackson n'avait plus à s'empêtrer dans les explications et la présentation des personnages, il a donné à The Desolation of Smaug un meilleur rythme qu'à An Unexpected Journey.
Sonia Sarfati Lire la critique complèteSéquences
Si le premier volet se présentait comme un film d'action aux allures de conte philosophique et où la dimension humaine brillait par sa présence, The Hobbit: The Desolation of Smaug convoque l'action au détriment d'une certaine maturité d'esprit et d'intelligence que possédait son prédécesseur.
Élie Castiel Lire la critique complèteAgence QMI
Parcours en dents-de-scie, Le Hobbit: la désolation de Smaug est un long métrage composé d'excellents moments, malgré une quantité impressionnante de scènes qui ne sont destinées qu'à être du remplissage.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complèteCinéfilic
À l'arrivée, il faut bien admettre que les 2h40 finissent par lasser. Au lieu de trouver le rythme juste et d'enlever le superflu, Peter Jackson semble avoir voulu en mettre toujours plus en ratissant large pour plaire au plus grand nombre.
Jean-Marie Lanlo Lire la critique complète