Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan
v.o.f.s.-t.a. : Once Upon My Mother
En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d'une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l'empêche de se tenir debout. Contre l'avis de tous, elle promet à son fils qu'il marchera comme les autres et qu'il aura une vie fabuleuse. Dès lors, Esther n'aura de cesse de tout mettre en oeuvre pour tenir cette promesse. À travers des décennies d'épreuves et de miracles de la vie, ce film est le récit d'une histoire vraie, drôle et bouleversante, celle d'un destin incroyable et du plus grand amour qui soit : celui d'une mère pour son enfant.
Distribution
- Leïla Bekhti (Esther Perez)
- Jonathan Cohen (Roland Perez)
- Joséphine Japy (Litzie Gozlan)
- Sylvie Vartan (Elle-même)
- Jeanne Balibar (Madame Fleury)
- Nina Bouffier (Jacqueline)
- Milo Machado-Graner (Jacques)
- Anne Le Ny
- Naïm Naji (Roland (5-7 ans))
Réalisation
Scénarisation
Production
Compagnie de production
- Egérie Productions
- Gaumont
- Christal Films
Distributeur
- Les Films Opale
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Adaptation haut de gamme du livre de Roland Perez. Scénario à la fois drôle et tire-larmes. Ensemble un peu fragmenté et bousculé. Superbe composition de L. Bekhti.
Lire la critique complèteLa Presse
Fidèle à ses habitudes, Ken Scott navigue habilement entre la comédie et le drame. En aucun temps, Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan ne sombre dans la farce vulgaire, la chronique familiale mièvre ou le mélo larmoyant.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Ce film chaleureux et réconfortant véhicule un message d’espoir qui fait du bien en ces temps difficiles.
Lire la critique complèteLe Devoir
À terme, Ken Scott livre un film qui non seulement « fait du bien », mais s’avère très bien fait.
Lire la critique complèteLe Soleil
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est une œuvre émouvante, dont le message va droit au cœur.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Il en découle des situations que le grand public, avide de sensations fortes en matière de sensibilité et d’affectation, pourra savourer. Et en plus, le tout alimenté par des interprétations senties, même si parfois, frisant un tant soit peu la caricature.
Lire la critique complète