Ego trip.
Si on a envie d’y croire au début, le soufflé retombe vite et, plus il avance, plus ce film à la gloire (ou pas) du chanteur The Weeknd (Abel Tesfaye de son vrai nom) se révèle aussi creux que vain et prétentieux. Hurry Up Tomorrow fait certes un peu illusion grâce à la mise en scène magnétique de son réalisateur Trey Edward Shults (à qui l’on doit la perle méconnue Waves). Mais, très vite, les thèmes abordés et à la mode que sont la toxicité masculine et son miroir féminin s’avèrent survolés et prétexte à un long clip où l’artiste joue son propre rôle, et fait son auto-promotion sous couvert de confidence sincère. On survole tout autant les genres pour une œuvre superficielle et tape à l’œil dont le dernier acte est clairement ridicule. Bref, si ce n’est Shults à la place de Sam Levinson, on nous refait le coup de la série The Idol en inversé et au cinéma.
Si on a envie d’y croire au début, le soufflé retombe vite et, plus il avance, plus ce film à la gloire (ou pas) du chanteur The Weeknd (Abel Tesfaye de son vrai nom) se révèle aussi creux que vain et prétentieux. Hurry Up Tomorrow fait certes un peu illusion grâce à la mise en scène magnétique de son réalisateur Trey Edward Shults (à qui l’on doit la perle méconnue Waves). Mais, très vite, les thèmes abordés et à la mode que sont la toxicité masculine et son miroir féminin s’avèrent survolés et prétexte à un long clip où l’artiste joue son propre rôle, et fait son auto-promotion sous couvert de confidence sincère. On survole tout autant les genres pour une œuvre superficielle et tape à l’œil dont le dernier acte est clairement ridicule. Bref, si ce n’est Shults à la place de Sam Levinson, on nous refait le coup de la série The Idol en inversé et au cinéma.
Retrouvez ma critique complète sur la site spécialisé Le Mag du Ciné:
https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/hurry-up-tomorrow-film-trey-edward-shults-avis-10076266/