Réalisation

Production

studios

  • Screen Australia
  • Film Art Media
  • Embankment Films
  • White Hot Productions

distributeur

  • Les Films Séville

Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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Dans ce mélange raté de drame, d'humour burlesque et de romance sucrée, il y a toutefois quelques scènes assez amusantes, dont celle où l'héroïne et son beau (Liam Hemsworth, beaucoup trop jeune pour le rôle) vont voir le film Sunset Bouleveard en compagnie de l'excentrique Molly, campée avec verve par une Judy Davis inspirée.

Louis-Paul Rioux Lire la critique complète

Ton Canapé

Acceptable
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À vrai dire, c'est que The Dressmaker ne semble pas trop savoir ce qu'il désire être; est-ce un western moderne, un récit de vengeance, une comédie noire ou bien un thriller érotique?

Charles Lamoureux Lire la critique complète

La Presse

Bon
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Le secret n'est pas dans la sauce, mais dans le ton. Pour apprécier The Dressmaker de Jocelyn Moorhouse (qui fait un retour derrière la caméra près de 10 ans après A Thousand Acres), il faut savoir que la réalisatrice de How to Make an American Quilt nous livre une comédie noire.

Sonia Sarfati Lire la critique complète

Agence QMI

Acceptable
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Avec son humour déjanté et grinçant, The Dressmaker est un délice pendant une heure et demie. Les personnages à la cruauté exagérée et les situations surréalistes fascinent. Malheureusement, le scénario de Jocelyn Moorhouse et de P.J. Hogan, adaptation du roman du même nom de Rosalie Ham, dérape allègrement dans l'eau de rose, le convenu et le prévisible prenant alors toute la place pour la dernière partie du long métrage. Dommage!

Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complète

Variety

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Jocelyn Moorhouse returns from a long absence from the director's chair with this appreciably deranged small-town revenge fable.

Justin Chang Lire la critique complète

The Hollywood Reporter

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The Dressmaker is about as far from essential viewing as one could imagine, but, for all its brightly glaring flaws, much of it qualifies as a glossy, goofy guilty pleasure.

Jon Frosch Lire la critique complète