Les chroniques de Narnia : L'odyssée du Passeur d'aurore

L'action manque d'ampleur et d'enjeux dramatiques forts ou originaux, certains passages frôlent la mignardise et l'interprétation ne casse rien.

Director Michael Apted (known for his Up documentary series) never lets the fantasy elements overwhelm the characters, or their human dimensions, which ensures we're always in touch with the emotional reality, even when the images stray far from the natural laws of physics.

The Chronicles of Narnia franchise wraps up with a slow whimper in Voyage of the Dawn Treader, a perfectly fine film that's also a fairly unsatisfying conclusion to a series that's never quite reached greatness.

Though there are times when the movie turns into a congested mess, as in a climactic battle that washes the screen in gray, there are moments when you also see a quieter, less industrial production.

Les problèmes scénaristiques de ce genre sont nombreux dans cette réalisation de Michael Apted, et nuisent considérablement au développement d'un véritable suspense, les enjeux du récit étant non seulement minimes, mais encore fort mal développés.

Réalisé avec vigueur mais sans personnalité (Apted est beaucoup plus à l'aise au documentaire qu'à la fiction), The Chronicles of Narnia - The Voyage of the Dawn Treader demeure un produit de qualité. Il n'est seulement que trop sage.

On ne sent plus le plaisir enfantin de se retrouver dans le monde de Narnia où le merveilleux et l'aventure sont à portée de destin; et le discours chrétien cher à Lewis – qui pourra agacer certains – n'en paraît que plus souligné, en particulier au moment de la conclusion.

The Chronicles of Narnia: The Voyage of the Dawn Treader is more like The Voyage of the Dull Treacle. It's serviceable, but certainly not much fun.