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À voir pour de bons frissons
Du sang, une grotte, l'impossibilité de sortir, voilà une recette qui fonctionne parfaitement avec la descente. Attention, claustrophobe, vous êtes prévenus! Les créatures sont très réalistes et l'histoire crédible. La fin est inattendue ce qui rend le film encore plus épeurant. À voir absolument si vous êtes fan des films d'horreurs!
EN UN MOT. PARFAIT.
Salut! Ce film est pure excellence, à l'envers de - la pure vidange - que je lis d'autre monde qui l'ont pas aimé pantoute. Je vais respecter les opinions des autres et ils ont ressenti que c'est une pièce de m...totale et - c'est le pire film que j'ai jamais vu de ma vie -...Avec ceci dit. Alors de retour sur mes sentiments là-dessus. Je peux vraiment pas comprendre le monde, je peux juste pas... je vais essayer... Je sais que c'est pas un film qu'essaye d'être valant d'un Oscar avec des couches profondes de moralité (y en a dans ce film) autour d'une histoire dramatique. Pour les horreurs (j'haïs ce terme, je préfère thriller/suspense avec des éléments d'horreurs. Je sais que c'est du haut catégorizage que j'haïs aussi, parce que c'est du fittage dans une petite case.
L'audience oublie aussi qu'il y a au-dessus de 50 000 films; c'est normal. À un certain point, les choses peuvent avoir l'air similaires quand il y autant de films... alors svp couper du lousse et soyer considérant de comment dure c'est de faire un film. Alors, avec celà dit; de plus. Je veux dire que ce film est pure excellence parcequ'il frappe les bonnes notes : claustrophobie (certain(e)s n'aiment pas ça, ainsi haïssent le film... comprenable; mais cet élément élève le facteur d'appeurement du film quand même), la noirceur (extrêmement importante pour augmenter le facteur psychologique (qui n'est pas apeuré de la noirceur totale - pris dans une cave ?), une bande sonore/soundtrack et expérience aurale extrêmement impressionnantes
(les concepteurs de son ont assuré qu'il y a de la réverberation et de l'- écho de cave - partout dans le film (non comme avec Descent 2, qui est plus flat sonoriquement et affecte grandement l'effet spatial situationel du visioneur (trapé dans une cave silencieuse où chacun des sons environnants - surround - sont entendus/écoutés d'une façon de son environnant - 3D surround -. En fait, The Descent se dotte généreusement de 7.1 canneaux incroyables, au lieu de 5.1 réguliers (quand même très bon), la différence est massive,
t'entends les créatures d'en arrière de toi (gauche de côté, droite de côté) partout ce niveau d'effet de son environnant 3D - surround - - enveloppant/emprenant - n'est pas entendu dans d'autres films d'horreurs, où tu te sens plus un oeil passif; ici, tu te sens sur la scène dans la cave - avec les femmes.))), le film met en vedette un ensemble toutes-femmes (nouveau, mais pas, mais assez nouveau - comme spéléo-excurseuses/aventurières de cave, très nouveau; donc une originalité), les créatures
(que tout le monde rit de comme une version de pauvre du - troll ghollum (seigneur des anneaux/lord of the rings) - ou autres - costumes-prostétiques - si faux... de très bons - prostétiques -, comme du très bon - CG 3D - et comme outil, ont leur place; et je pense pas que le fait d'être corps tout nu - de ces créatures devraient autant éliminé (- un - homme tout nu - avec un masque - ghollum -... super... très épeurant. Pas.>>)
Pour moi, la première partie est une lente et montante construction et la meilleure. J'ai vu ça à Fantasia en 2006, ça totalement prit ma respiration (Aucun film avait fait ça en au moins 20 ans de temps, depuis le premier Alien; et ce film est un hommage à lui aussi. Mr.Marshall a dit qu'il était inspiré par ces grands films d'horreurs tel le terrifiant et lentement bouillonnant Alien 1 de Mr.Scott). J'me rappel entrain de regarder ces femmes là de combattre la Cave, se battrent contre elle-mêmes
(les amitiés de dissoudent parceque là - chacunes se défend pour elle-même), combattre la mort (survie pure), combattre des créatures (oui, OK, elles existent pas - c'est de la - fiction -, lit ce mot-là/calme-toi avec les accusations - ça fait pas de sense/c'est un film stupide, d'un nonsense et sans cervelle)>>; et Excellent à ça aussi, mais les créatures sont assez tard et ont un certain degréé de fittage; ça - pourrait - être possible (même si certains ont dit que ces créatures auraient évoluées dehors de la cave/l'auraient laissée... pas nécessairement, ils auraient pu évoluées Dedans).
Quand les protagonistes font face aux trous tombant/profond, c'est totallement terrifiant (d'essayer de traverser jusqu'à l'autre bord et pas tomber à leurs mort). La cave est tellement méchante et pardonne pas. Mr. Marshall utilise des éléments importants comme la palette de couleur (il utilise le rouge durant des scènes mortelles, le vert dans des scènes sans danger, de l'éclairage rouge de lampion-de-feu-s.o.s. et des ombres noires profondes avec la noirceur complète pour cacher les éléments et augmenter la peur totale)
des peurs (très bien) j'haïs la catégorisation - jumpscare - - bouuuhh!! un minou qui revole!! -... tu fais pas peur à quelqu'un - avec SEULEMENT de la tension morbide, t'as besoin de plus haut que ça; les - 'jump'scares - (sauts de peur/ - peurs sautantes -) sont cet élément pour - prendre - le monde par - surprise -; t'en a besoin, tu peux haïllir avec passion; mais c'est la réalité; pour faire peur, t'as besoin de surprendre le monde de peur (les faire sauter de peur).
Les actrices sont incroyables et élèvent la peur (elles crient, émotions et pleins de pleurs; tu sais que ça pourrait - être toi - dans cette cave, survivant). Les peurs sont extrêmement bien faites avec des accents musicaux (staccato), mais le film entier est presque en silence - surround - environnant (on entend que le bruit environnant de la cave et les pas des femmes en échos - épeurant). Il y a de la viscéralité totale et un
- combat jusqu'à la mort - pour continuer de vivre. C'est une histoire de survie pure (du sang, du carnage de chair corporelle charcutée est jamais ajoutté juste - parce que -; elles se combattent vraiment jusqu'à la mort et il s'assure qu'on ressent le calvaire saignant de leur survie. La cave est si sombre et maléfique qu'elle prend une forme de - personnage - elle-même (les ombrages sculptes tous les motifs de roches qui sont biens; construction très détaillée et réaliste de structures rocheuses sur le plateau de tournage).
Simplement dit : Le meilleur suspense thriller horreur/avec éléments d'horreur depuis Alien 1 et Shining, oui, même Shining ou Exorcist. Félicitations Mr. Marshall, s'il-vous-plaît faites Descent 3.
Très bon
J'ai adoré ce film, sa fessait longtemps que je n'avais pas vu un si bon film d'horreur. Même si ses un film un peu barbare dans le feu de l'action sa reste un film excellent qui garde l'intensité tout au long du film. Et j'ai bien aimé le jeu des actrices Alex Reid et de Nora-Jane Noone.
Critique The Descent
Depuis quelques années, le cinéma d’horreur (tout pays confondus) était assez moribond, entre remake américains sans réel intérêt ou films s’étant démarqué mais devenu depuis des poules aux œufs d’or surtout destinés à la génération MTV. Neil Marshall débarque avec son The Descent, cauchemar suffocant qui fait plaisir à voir tant on attendait ce type de film depuis longtemps. En voyant le slogan du film «il y a des films d’horreur… et des films qui font peur», avec une accroche pareille, difficile de ne pas être intrigué par ce film venant de l’Angleterre.
Certes l’introduction est assez longuette, bien que l’accident de la route du début nous met déjà en condition, on peut aussi s’amuser à trouver un paquet de référence du genre (que se soit avec The Hole pour le générique, Destination finale 2 pour l’accident ou encore Darkness et Cannibal Holocaust… ) les références ne manquent pas, permettant ainsi de mieux préparer le spectateur au sort que vont subir les filles en descendant dans la grotte c’est d’ailleurs à ce moment la que le film décolle réellement, surtout lorsque les amies sont confrontées au vide impressionnant, dès cet instant, une vraie impression de danger apparait et les premiers aspects de claustrophobies apparaissent. Autant le dire tout de suite, il se pourrait bien que The Descent devienne comme L’exorciste ou Les dents de la mer, un film de référence en passe de devenir culte, réussissant un véritable tout de force, en employant un procédé devenu rare: terrifier le spectateur en jouant sur les codes évident du genre (quoique certains réalisateur ne semblent pas opter pour ce type de procédé) mais aussi par les nombreuses références, assez nombreuses, qui ont émaillé l’histoire du cinéma d’horreur et d’épouvante. On échappe donc au second degré de la saga Scream, au concept type réexploité depuis au Projet Blair Witch ou autre, The Descent est un vrai régale dans le sens où tout au long du film, il joue avec les nerfs du spectateur, perpétuant la tradition des films sadomasochistes qui consistent à unifier les grands maitres dans ce domaine avec un public toujours à la quête de sensation de ce genre qui en demande de plus en plus.
Une des premières réussites du film est de jouer habilement sur l’identification de ces 6 copines, tout d’abord celles-ci sont interprétés par de parfaites inconnues, mais parfaitement crédibles: sportives (ce qui tombent plutôt bien) et jolies, en parfait contradiction avec ce que le cinéma américain essaye d’imposer depuis quelques années dans les films d’horreur, d’où le temps qui pourrait (pour certains utilisateurs) paraître assez long, tant Neil Marshall essaye d’imposer et d’installer la complicité entre les filles, étape indispensable pour mieux exprimer les rapports et la déliquescence du groupe devant les dangers à venir.
Scénario catastrophe de cause initialement naturelle, de pétage de plombs qui laissent ressortir les personnalités diverses, manque de bol, accidents… et lorsque l’on pense avoir atteint l’apogée du film (dont la situation actuelle était déjà bien gâtée), on voit débarqué des créatures sorties de nulles part très hostiles et affamées et c’est bien que l’on reconnaisse que l’on prend un malin plaisir à les voir subir de telles barbaries, subit par ce qui se terre au fond de la grotte où elles se sont aventurées pour aller à la recherche d’adrénaline, on remarque aussi que les créatures n’ont pas besoin d’effets spéciaux particuliers pour faire froid dans le dos. Le réalisateur est assez fier de ces créatures (crawlers) nommés en référence à leur aptitude supersonique à ramper le long des parois, il ménage sa surprise à ses ouailles jusqu'à la dernière minute, il préfère prendre avant la température concernant le niveau de pétoche occasionné par ses démons sur le visage de ses comédiennes qui étaient au courant de rien et le résultat est plus que flagrant, merci monsieur le réalisateur qui a eu une idée certes simple mais il fallait y penser. Le stratagème est assez sadique mais est des plus beaux effets à l’écran, on peut juste regretter que Marshall aille par moment un peu trop loin dans certaines scènes et pas assez dans d’autres, c’est d’ailleurs largement déconseillé aux amateurs pensant juste voir un film sans défense et surtout sans prétention, car le film avance sans prendre le temps de voir comment va réagir le spectateur, pires seront les épreuves endurés par le groupe, le réalisateur ne craignant pas aussi la surenchère, sachant parfaitement l’utiliser, à savoir de façon brutale et soudaine avec des passages sanglants remplie de réalisme qui contribue au malaise général qui se dégage du fil, tant on voit au fur et à mesure que le film avance, que les femmes dont on disait qu’elles étaient belles et qui vont se transformer en machine de guerre dont la fureur est plus que crédible, cette situation nous fait penser à Sigourney Weaver dans les films Alien, le film ne comporte pas que des référence a ce sujet mais aussi vis-à-vis d’autres films. The Descent est donc un florilège du cinéma d’épouvante qui respire tout de même l’audace et la nouveauté.
Bref le film est un joyau qui mérite d’être vu et vivement la suite.