Bonjour tristesse
v.o.a. : Bonjour tristesse
v.o.a.s.-t.f. : Bonjour tristesse
Au plus fort de l'été, Cécile, 18 ans (Lily McInerny), se languît sur la côte française avec son copain, Cyril (Aliocha Schneider), son père, Raymond (Claes Bang), et sa petite amie, Elsa (Naïlia Harzoune). L'arrivée de l'amie de sa mère décédée, Anne (Chloë Sevigny), bouleverse tout. Au cœur de la splendeur ensoleillée de leur environnement, le monde de Cécile est menacé et, désespérée de reprendre le contrôle, elle met en place un plan pour éloigner Anne, avec des conséquences tragiques. Adaptation du roman inoubliable de Françoise Sagan, Bonjour Tristesse, Durga Chew-Bose parvient magistralement à capturer la complexité des relations entre femmes et la manière dont elles exercent une influence sur le destin des autres.
Distribution
- Lily McInerny (Cécile)
- Chloë Sevigny (Anne)
- Claes Bang (Raymond)
- Nailia Harzoune (Elsa)
- Aliocha Schneider (Cyril)
- Mélodie Adda
Réalisation
Scénarisation
- Durga Chew-Bose
- Françoise Sagan (adaptation de l'oeuvre de)
Production
Studio
- Babe Nation Films
- Barry Films
- Cinenovo
- Constellation Productions
- Elevation Pictures
Distributeur
- Entract Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Adaptation languissante, artificielle et datée du roman de Françoise Sagan. Réalisation élégante mais figée. L. McInerny sensible et gracieuse.
Lire la critique complèteLa Presse
Rappelant les films de Rohmer par sa légèreté apparente, ses marivaudages échangés sur la plage et son rythme languissant, Bonjour tristesse s’avère une adaptation esthétisante qui évacue certaines complexités du roman.
Lire la critique complèteLe Devoir
Le film épouse un rythme mesuré qui frôle parfois la léthargie. En revanche, Durga Chew-Bose a, à l’évidence, longuement mûri sa mise en scène en fonction des lieux de tournage choisis.
Lire la critique complèteLe Soleil
Cependant, cette emphase visuelle, notamment sur les décors et la gastronomie, finit par devenir répétitive, donnant par moments l’impression que l’on assiste davantage à une publicité touristique qu’à un drame introspectif.
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