Réalisation

Production

Scénarisation

studios

  • Lions Gate Film
  • CBS Films
  • Storefront Films

distributeur

  • Alliance Vivafilm

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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Avec un soin évident mais sans audace, le cinéaste au style léché et impersonnel se contente d'illustrer avec complaisance et bon nombre de clichés l'opulence et l'insouciance d'adolescents new-yorkais évoluant dans un environnement aseptisé et clinquant (le tout reconstitué à Montréal).

André Lavoie Lire la critique complète

The New York Times

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It's the same old story, a fight for love and glory, though really one for that coveted youth demographic. This update of the durable fairy tale is so strategically aimed at the jailbait set (and their older sisters) that it should come with a complimentary tub of Justin Bieber's favorite zit zapper.

Manohla Dargis Lire la critique complète

The Gazette

Pauvre
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The message of true love is always compelling, but here, it all feels so childish and derivative, the underlying crux of the surrounding mythology is entirely abandoned.

Katherine Monk Lire la critique complète

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Pauvre
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Certes, la réalisation est compétente et le maquillage de la Bête, réussi, mais cela ne suffit pas à faire oublier la mièvrerie des dialogues, la maigreur de l'intrigue et la réflexion prémâchée sur l'être et le paraître.

Manon Dumais Lire la critique complète

La Presse

Pauvre
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Beastly, de Daniel Barnz, s'adresse à la génération Twilight qui frétille et gigote à la moindre vue d'un torse nu ou au spectacle d'un baiser amoureux sous la bruine.

Aleksi K. Lepage Lire la critique complète

USA Today

Pauvre
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This modern reworking of Beauty and the Beast has none of the charm of the Disney animated version. It's dogged by awkward dialogue, a ridiculous plot and lackluster performances, especially by the leads, Alex Pettyfer and Vanessa Hudgens.

Claudia Puig Lire la critique complète

Lecinema.ca

Pauvre
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Sorte de Beauty and the Beast pour la génération Twilight, Beastly convainc difficilement dans sa façon de célébrer « l'amour à tout prix » et de rappeler que « la vraie beauté est intérieure ». À quand Frankenstein et l'homme invisible pour un public cible qui n'a pas 12 ans?

Martin Gignac Lire la critique complète