La femme à la fenêtre
v.o.a. : The Woman in the Window
Anna, une psychiatre pour enfants, souffre d'agoraphobie à la suite d'un traumatisme. Elle reste cloitrée entre les quatre murs de sa maison de New York sans avoir la force d'en sortir. Elle consulte un psychologue qui vient la voir chaque semaine et elle peut compter sur son locataire David pour effectuer les petites tâches manuelles qu'elle ne peut faire elle-même. Pour se désennuyer, elle observe ses voisins par la fenêtre. Quand elle est témoin d'un meurtre, elle s'efforce d'alerter les autorités, mais sa situation psychologique instable fait d'elle un témoin peu crédible. Elle décide donc de prendre l'enquête en main.
Distribution
- Amy Adams (Anna Fox)
- Fred Hechinger (Ethan)
- Gary Oldman (Alistair Russell)
- Wyatt Russell (David)
- Julianne Moore (Jane)
- Anthony Mackie (Ed Fox)
- Brian Tyree Henry (Little)
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Fox 2000 Pictures
distributeur
- Netflix
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Réflexion sur la subjectivité du regard et des perceptions, cet exercice de style jouissif est toutefois plombé par d'inévitables invraisemblances et un dénouement problématique, qui aurait été réécrit et refilmé par Tony Gilroy. D'où le manque d'homogénéité de l'ensemble, qui se laisse tout de même voir avec plaisir, grâce au talent d'acteurs de premier plan, solides dans des rôles mémorables.
Lire la critique complèteRogerebert.com
Ultimately, "The Woman in the Window" offers a lot of build-up, a lot of possibility.
Lire la critique complèteRolling Stone
Adaptation of bestselling thriller about an agoraphobe who witnesses a murder gets the full A-list treatment -- and still feels curiously DOA.
Lire la critique complèteLe Soleil
Ensuite, des projections-tests désastreuses qui n'ont pas empêché la livraison d'un produit final convenu, prévisible et décevant, pâle copie de Fenêtre sur cour, le classique d'Hitchcock.
Lire la critique complèteLa Presse
Le personnage de psychologue pour enfants agoraphobe qu'incarne Amy Adams aurait pourtant mérité mieux. Avide de grands classiques du film noir, qu'elle prend plaisir à regarder (Laura, Dark Passage, Spellbound, notamment), cette femme se trouve déjà dans une position psychologique intrigante. Or, le traitement qu'on lui réserve relève davantage du film d'horreur que du film noir.
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