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  • Les Films du Bélier

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  • Cinéma Du Parc Distribution

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Bande-annonce & Images

Revues de presse

Médiafilm

Bon
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Les interprètes font preuve d'un naturel appréciable et Honoré tire avantage de l'aisance de la star du porno gai François Sagat qui, malgré son jeu limité, se révèle étonnamment touchant.

François Lévesque Lire la critique complète

Voir

Très bon
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François Sagat, vedette du cinéma porno gai, est ici bien plus qu'un objet de beauté. Sa présence, troublant amalgame de force et de fragilité, irradie tout le film.

Christian Saint-Pierre Lire la critique complète

Le Point

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hristophe Honoré - et il a parfois montré qu'il le méritait - est un cinéaste très aimé, surtout à Paris intra-muros. Pas sûr qu'il le reste longtemps s'il s'amuse encore à faire ce genre de films pour le moins indigents.

François-Guillaume Lorrain Lire la critique complète

La Presse

Bon
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Christophe Honoré déchante ici un portrait impressionniste où la fiction croise l'approche documentaire, et à travers lequel la dérive des sentiments emprunte la forme d'un érotisme masculin un peu triste. À la fois beau et cruel.

Marc-André Lussier Lire la critique complète

Le Nouvel Obs

Acceptable
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Choisissant pour ce rôle l'acteur de porno François Sagat, Honoré n'a de cesse d'humilier cet homme-objet avec un voyeurisme douteux qui témoigne d'autant d'attirance érotique que de mépris arrogant. Consternant !

Jean-Philippe Guerand Lire la critique complète

Télérama

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Le plus en danger n'est peut-être pas celui qu'on croit : passé par la fantaisie érotique tous azimuts, le film glisse vers le conte moral aux accents rohmériens. Après la crudité, la cruauté.

Louis Guichard Lire la critique complète

Libération

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Christophe Honoré regardant le cinéma comme il regarde son acteur : il n'accepte pas de le laisser se résumer à ce qu'on en attend. Et par cela, le sublime.

Philippe Azoury Lire la critique complète

Le Monde

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L'idée aurait pu fonctionner si ces images, visiblement tournées en DV par lui-même lors du voyage qu'il fit avec son actrice à New York pour présenter Non, ma fille, tu n'iras pas danser, n'étaient pas si inconsistantes. Alternée avec celle de Sagat à Gennevilliers, la micro-fiction qu'il construit à partir de cette situation ne tient pas. Pire, elle rend vain l'ensemble du film.

Isabelle Regnier Lire la critique complète

L'Express

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Avec ce film, Honoré mène son spectateur à l'ennui.

Éric Libiot Lire la critique complète