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  • Estudios Churubusco Azteca S.A.
  • Redrum

distributeur

  • Equinoxe Films

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Bon
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Fellini (8 ½), Fosse (ALL THAT JAZZ) et Almodovar (DOULEUR ET GLOIRE) ont peint de sublimes autoportraits. Avec BARDO, Alejandro Gonzalez Iñárritu (BABEL, BIRDMAN) se déguise à peine dans le personnage de Silverio, admirablement joué par Daniel Giménez Cacho, et signe un film ambitieux mais complaisant, flamboyant et suffisant à parts égales, bavard et ponctué de fulgurances visuelles. Un superbe plan initial à la Malick suivi d'une scène d'ouverture à la Kusturica promettent un voyage mémorable entre introspection et démesure. Hélas, la suite - amputée de 15 minutes depuis sa première à Venise - ressemble un peu trop à "La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf" de La Fontaine. Crise existentielle, culture de l'image, amnésie historique, relations Mexique-États-Unis, dynamiques familiales : BARDO embrasse trop de thèmes pour en étreindre un seul en profondeur. Et la photo de Darius Khondji (DELICATESSEN, EVITA, AMOUR) a beau faire des merveilles et les interprètes, être tous impeccables, cette spectaculaire machine tourne à vide, même si on admire la maestria du cinéaste mexicain.

Éric Fourlanty Lire la critique complète

La Presse

Excellent
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Ponctué de séquences visuellement très fortes, nourri d'observations sociales et politiques très senties (l'installation de réalité virtuelle Carne y Arena fut visiblement marquante pour Alejandro González Iñárritu), Bardo paraîtra sans doute trop foisonnant - ou trop éparpillé - pour faire l'unanimité. 

Marc-André Lussier Lire la critique complète

Cinéfilic

Bon
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Alors oui, le film est parfois très beau et certaines scènes méritent d'être vues sur grand écran, mais on ne peut s'empêcher de se demander s'il ne serait pas préférable d'attendre la sortie Netflix pour le regarder à petites doses, à raison de 30 minutes par jour.

Jean-Marie Lanlo Lire la critique complète

Journal de Montréal

Bon
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Pendant 159 minutes -- la version de 174 minutes présentée à Venise a été rendue plus digeste depuis -, Iñárritu joue avec les dialogues, les plans, les décors, faisant perdre pied au spectateur afin de mieux le ramener dans son univers surréaliste, onirique... et diantrement égocentrique.

Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complète

KinoCulture Montréal

Excellent
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Iñárritu n'a jamais été aussi mélancolique, se posant des questions sur son travail, sur ses réalisations - il en fait état subtilement dans des parties du dialogue - sur le temps qu''il lui reste à vivre. Pourquoi pas ?

Élie Castiel Lire la critique complète