Voici les nouveautés de la semaine :
21 (21) - États-Unis - 123 min.
Réalisé par Robert Luketic. Avec Jim Sturgess, Kevin Spacey.
Pour pouvoir payer ses études de médecine, Ben Campbell accepte sans enthousiasme de prendre part à un projet secret de Mickey Rosa, son professeur de mathématiques au M.I.T. L'objectif de ce dernier: enseigner à cinq étudiants surdoués son système perfectionné de comptage de cartes au blackjack dans le but de flouer les casinos de Las Vegas. D'abord peu sûr de lui, Ben fait rapidement des merveilles aux tables de jeu, gagnant du coup le coeur de sa consoeur Jill. Mais avec l'assurance vient l'audace irréfléchie. Ainsi, outrepassant les directives de Mickey, le jeune joueur fait perdre une forte somme à ses complices. Et ce, au moment où un redoutable responsable de la sécurité du casino semble sur le point de lui mettre la main au collet.
Superhero Movie (Film de super-héros) - États-Unis - 85 min.
Réalisé par Craig Mazin. Avec Drake Bell, Sara Paxton.
Un jeune homme se découvre des pouvoirs surnaturels qu'il ne parvient toutefois pas à maîtriser convenablement. Sa maladresse ne sera pas sans conséquences dans ce monde en péril que le destin l'a appelé à sauver.
Caramel (Caramel) - Liban, France - 95 min.
Réalisé par Nadine Labaki. Avec Nadine Labaki, Yasmine Al Masri.
Dans un quartier populaire de Beyrouth, Layale dirige son institut de beauté où ses copines Nisrine et Rima lui prêtent main forte. À l'abri du monde extérieur, entre mise en pli et épilation au caramel, clientes et employées se confient leurs secrets, se racontent leurs petites et grandes misères. Layale est amoureuse d'un homme marié. Nisrine craint d'avouer à son fiancé qu'elle n'est plus vierge. Leur amie Jamale, abandonnée par son mari pour une femme plus jeune, tente de cacher sa ménopause. Rose, leur voisine couturière, doit s'occuper de Lili, sa soeur aînée devenue sénile. Or, malgré les aléas du quotidien, toutes gardent le sourire.
Stop-Loss - États-Unis - 113 min.
En anglais seulement.
Réalisé par Kimberly Pierce. Avec Ryan Philippe, Abbie Cornish.
À son retour d'Irak, le sergent Brandon King est accueilli avec chaleur par sa petite communauté du Texas et reçoit de l'armée une médaille pour bravoure. Comme Shriver, son meilleur ami et compagnon d'armes, Brandon lutte contre le souvenir des scènes horribles qu'il a vécues à la guerre. À son grand soulagement, il s'apprête à retrouver une vie normale lorsque ses supérieurs lui apprennent qu'il fait l'objet d'une mesure l'obligeant à retourner au combat. Abasourdi par la nouvelle, le jeune homme vole une voiture et déserte, prenant à son bord Michele, la fiancée de Shriver, qui se propose de l'accompagner à Washington afin d'y solliciter le soutien d'un sénateur.
Run, Fat Boy, Run - États-Unis, Grande-Bretagne - 100 min.
En anglais seulement.
Réalisé par David Schwimmer. Avec Simon Pegg, Hank Azaria.
Cinq ans plus tôt, Dennis a largué la ravissante Libby au pied de l'autel. Enceinte. Depuis, pas une journée ne passe sans qu'il ne se reproche sa terrible erreur. Décontenancé à l'idée que Libby s'apprête à refaire sa vie auprès de Whit, un charmant Américain, Dennis se résoud à se reprendre en main afin de la reconquérir et, par la même occasion, de s'ériger en modèle auprès de leur fils. Le nouveau défi de cet anti-héros bedonnant: s'entraîner pour un marathon caritatif auquel participe Whit. Ce dernier, qui cache sous un vernis de perfection une nature profondément narcissique, n'entend pas se faire damer le pion si facilement.
L'année où mes parents sont partis en vacances - Brésil - 104 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Cao Hamburger. Avec Michel Joelsas, Germano Haiut.
En 1970, à l'heure où le Brésil domine le classement de la Coupe du Monde, la dictature resserre l'étau sur les dissidents politiques. Comme beaucoup d'intellectuels de gauche, les parents du petit Mauro sentent le besoin de fuir. Craignant pour la sécurité de leur enfant, ils lui font croire qu'ils partent en vacances et le laissent aux soins de son grand-père, qui habite un quartier juif de São Paulo. Or, le vieil homme meurt le jour de l'arrivée du garçon. Shlomo, un vieillard solitaire qui vit dans l'appartement adjacent à celui du défunt, veille sur le garçon, tout comme les gens du quartier, qui s'attachent à ce petit «goy». Les semaines passent et Mauro devient davantage préoccupé par l'absence prolongée de ses parents que par les exploits de Pelé et de l'équipe brésilienne, rendus en finale de la Coupe du monde.
Snow Angels - États-Unis - 106 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par David Gordon Green. Avec Sam Rockwell, Kate Beckinsale.
Dans une petite ville de Pennsylvanie, Annie élève seule sa fillette et essaie tant bien que mal de se refaire une vie après une difficile séparation. Glenn, son ex-conjoint, n'a pas renoncé à sa famille et tente de vaincre ses démons en s'abandonnant à la religion. En parallèle, Arthur, un adolescent timide dont Annie fut jadis la gardienne et qui aujourd'hui travaille dans le même restaurant qu'elle, découvre l'exaltation et les tourments d'un premier amour auprès de la nouvelle élève de son école. Au fil de ce morne hiver, une tragédie latente mettra en évidence les liens obscurs qui unissent Arthur et Annie.
The Life of Reilly - États-Unis - 84 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Frank L. Anderson, Barry Poltermann.
Seul en scène, le comédien Charles Nelson Reilly évoque son enfance difficile dans les années 1940, alors qu'auprès de sa tante lobotomisée, de son père fou et de sa mère raciste, il faisait la découverte de son homosexualité.
Les résumés proviennent de Médiafilm.