L'an 2000
v.o.a. : Y2K
31 décembre 1999. Malgré la crainte de voir se matérialiser le bogue de l'an 2000, Eli et Daniel, deux adolescents de 17 ans, souhaitent faire du passage vers le nouveau millénaire un événement mémorable. Une fête donnée chez un élève de leur école paraît tout à fait indiquée, d'autant que Laura, dont Eli est secrètement amoureux, doit y être. Tandis qu'Eli hésite entre se fondre dans le décor et se rapprocher de Laura, Daniel s'emploie à divertir les invités avec ses pitreries. Puis, une panne d'électricité vient interrompre momentanément les célébrations et est suivie de cris d'effroi provenant d'une chambre située à l'étage. Tous accourent pour constater qu'un jeune homme gît ensanglanté sur le sol, première d'une série de victimes dont l'élimination semble savamment programmée.
Distribution
- Jaeden Martell (Eli)
- Rachel Zegler (Laura)
- Julian Dennison (Danny)
- Daniel Zolghadri (CJ)
- Lachlan Watson (Ash)
- Fred Durst (Fred Durst)
Réalisation
Scénarisation
studios
- A24
- American Light & Fixture
- New Zealand Film Commission
- Strong Baby
distributeur
- VVS Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Parodie bancale des récits de science-fiction. Premier tiers drôle et alerte. Propos mince. Mise en scène ludique. Interprétation sans relief.
Lire la critique complèteLa Presse
Les trois acteurs principaux, Jaeden Martell, Julian Dennison et Rachel Zegler, sont convaincants, en particulier cette dernière, mais le jeu du reste de la distribution est inégal, parfois même mauvais. La présence - qui s'étire - d'une célébrité de l'époque n'aide en rien.
Lire la critique complèteThe Wrap
Even at just over 90 minutes, it quickly runs out of steam and can only coast along.
Lire la critique complèteVariety
It's not that the two parts of the movie don't go together. It's that the last hour of it, the cheeky dystopian alien-tech horror farce, simply isn't very good.
Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
Mooney eagerly mines the trove of Y2K cultural references to shape a narrative fine-tuned to a particular millennial sensibility, but struggles to meet the very low demands of its internal logic.
Lire la critique complète