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Voici les nouveautés de la semaine :
Shrek the Third (Shrek le Troisième) - États-Unis - 92 min.
Réalisé par Chris Miller. Avec les voix originales de Mike Myers, Cameron Diaz.
Le royaume lointain vient de perdre son monarque. À titre d'époux de la princesse Fiona, la fille du défunt, Shrek est appelé à monter sur le trône. Mais l'ogre vert aux manières frustes, qui a la nostalgie du marais, refuse tout net d'assumer ses fonctions. Flanqué de ses fidèles amis, l'âne et le chat Potté, Shrek part alors à la recherche du deuxième prétendant à la couronne, le jeune marginal Artie, qui est le demi-frère de Fiona. Entre-temps, cette dernière apprend qu'elle attend un enfant, ce qui ajoute aux angoisses de Shrek. Et pour compliquer les choses, en l'absence de l'ogre, son rival le Prince charmant fomente un coup d'État, avec la complicité de plusieurs célébrités infâmes, dont le capitaine Crochet, le grand méchant loup et la belle-mère de Blanche-Neige.
Le carnet noir (Black Book) - Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne - 145 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Paul Verhoeven. Avec Carice van Houten, Sebastian Koch.
Hollande, 1944. Sa famille ayant été décimée sous ses yeux au cours d'une embuscade tendue par l'armée nazie aux juifs fortunés, Rachel Stein prend la fuite et obtient un emploi dans l'usine d'un chef de la résistance. Sa vaillance et sa témérité attirent l'attention de ce dernier, qui l'implique dans quelques missions clandestines avant de lui demander l'impossible: séduire Müntze, un haut gradé nazi qu'elle a rencontré sur le train. La chevelure teinte en blond et sous le pseudonyme d'Ellis de Vries, la jeune femme se plie de bonne grâce à son ordre de mission et sa proie cède facilement à son charme. Au commandement général de La Haye, où elle a obtenu un poste de secrétaire, Rachel tend l'oreille de jour, intrigue la nuit. Mais au sein des troupes résistantes, son affection pour Müntze devient compromettante.
Rêves de poussière - France, Québec, Burkina Faso - 87 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Laurent Salgues. Avec Makena Diop, Fatou Tall-Salgues.
Éprouvé par un drame récent, le paysan nigérien Mocktar Dicko arrive à Essakane, une mine d'or artisanale du Burkina Faso. Il se joint alors à une petite équipe d'orpailleurs dirigée par le compréhensif Thiam, qui descendent chaque jour à plusieurs mètres de profondeur sous la terre poussiéreuse, avec pour seul équipement une pioche et des lampes de poche fixées sur leur tête. Non loin du puits, la pauvre Coumba, qui a perdu son mari et presque toute sa famille dans l'écroulement d'une galerie souterraine, filtre la pierraille que lui refilent par solidarité les mineurs. En quête de rédemption, Mocktar fait tout en son possible pour rendre la vie plus agréable à la jeune femme et à sa petite fille, qu'elle élève seule.
Les anges exterminateurs - France - 99 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Jean-Claude Brisseau. Avec Frédéric van den Driessche, Maroussia Dubreuil.
Inspiré par les confidences intimes d'une actrice participant à une scène osée en audition, François, cinéaste quinquagénaire, forme le projet de faire un film sur le plaisir féminin. Faisant fi des mises en garde de son épouse, il interroge plusieurs comédiennes sur ce qui les excite sexuellement, puis leur demande de faire des essais pendant lesquels elles doivent se donner (ou simuler) un orgasme devant la caméra ou même dans un lieu public. Trois d'entre elles, l'ingénue Julie, l'impétueuse Charlotte et l'intrigante Stéphanie, acceptent de relever le défi. Les interactions de ce trio auront des conséquences imprévues, sous le regard de deux « anges déchus » aux traits de jeunes femmes, qui semblent mener le jeu depuis le début.
Mignight Movies : From The Margin to The Mainstream - Canada - 86 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Stuart Samuels.
Des réalisateurs, acteurs, techniciens, critiques et exploitants de salles évoquent les «midnight movies», des films à petit budget atypiques, provocants ou bizarres, qui étaient présentés à minuit dans les cinémas durant les années 1970.
Close to Home - Isaraël - 96 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Dalia Hager et Vidi Bilu. Avec Naama Schendar, Smadar Sayar.
Smadar et Mirit patrouillent ensemble les rues de Jérusalem afin d'y contrôler les Palestiniens, exigeant leur carte d'identité et remplissant de longs formulaires. Bien qu'étant de tempérament très différents, ces deux jeunes filles de 18 ans affichent la même répugnance pour ce boulot, dont elles s'acquittent dans le cadre de leur service militaire obligatoire. La rebelle Smadar flâne devant les vitrines des magasins tandis que sa compagne, par crainte de provoquer la colère de ses supérieurs, affiche un zèle de chaque instant et réclame en vain un autre poste. Lors d'une patrouille, une bombe explose dans une ruelle. Cet incident, dont les conséquences auraient pu être funestes, force les deux filles à se rapprocher.
Les résumés proviennent de Médiafilm.