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Scénarisation

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  • France 3 Cinéma
  • Canal +

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  • Métropole Films Distribution

Bande-annonce & Images

Revues de presse

Médiafilm

Bon
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Le scénario efficace obéit sans trop d'invention, mais sans maladresse non plus, aux conventions du genre, avant d'opter pour un dénouement en queue de poisson dont l'audace est en contradiction avec ce qui a précédé. Belvaux filme cependant le tout avec un flair certain.

François Lévesque Lire la critique complète

Le Soleil

Très bon
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Tout n'est pas bien huilé dans ce scénario. Certaines pistes sont lâchement abandonnées en chemin. Les kidnappeurs, par exemple, révèlent quelques traits de personnalité qui n'apportent pas grand-chose à l'histoire, parce qu'ils sont mal développés. On a préféré s'attarder à ce que vit la famille de l'otage, mais, à force de se faire resservir les mêmes conservations artificielles, on y devient insensible.

Josianne Desloges Lire la critique complète

Le Nouvel Obs

Acceptable
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Lucas Belvaux s'inspire ouvertement de l'histoire du baron Empain, enlevé en 1978 et libéré au bout de soixante-trois jours, restituant admirablement la déshumanisation de l'otage par ses ravisseurs, la dignité qu'il leur offre en retour, et son dépeçage ultime une fois revenu à la liberté.

Marie-Elisabeth Rouchy Lire la critique complète

Télérama

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En termes de cinéma, pourtant, rien ne traîne, tchac-tchac, c'est tranchant, ça s'enchaîne vite. Concis et dégraissé comme une bonne série B d'antan : Belvaux n'élude aucun épisode décisif ou gênant. Il filme sans s'appesantir.

Jacques Morice Lire la critique complète

Les Inrocks

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Le ton du film de Belvaux est très sec, rigide, sérieux. Parce qu'il s'agit d'une affaire policière, d'un film noir, tout devrait nous amener à la comparaison la plus évidente en ce domaine, une influence essentielle et écrasante dans le cinéma contemporain, de Tarantino à Jarmusch en passant par Johnnie To : celle de Jean-Pierre Melville (lui-même un bressonien).

J.B. Morain Lire la critique complète

Ruefrontenac.com

Très bon
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Une grande partie de la réussite de Rapt repose sur les épaules d'Yvan Attal, d'une justesse remarquable d'un bout à l'autre du film. L'acteur campe avec aplomb ce président d'entreprise qui garde sa dignité même lorsqu'il est maltraité par ses ravisseurs. Il réussit à composer un personnage hautain, froid, distant, mais attachant malgré tout. Dans le rôle de son épouse déchirée par des sentiments contradictoires, Anne Consigny livre également une performance forte et nuancée.

Maxime Demers Lire la critique complète

Lecinema.ca

Bon
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Le scénariste et réalisateur Lucas Belvaux va cependant beaucoup plus loin que de rétablir mécaniquement ces codes. Continuant sa réflexion sur les mécanismes de pouvoir qui régissent la société, il pourfend à nouveau la bourgeoisie, confirmant qu'il est un riche héritier de Claude Chabrol.

Martin Gignac Lire la critique complète

Voir

Acceptable
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Rapt, plutôt téléfilmesque dans sa facture, ne convainc qu'à moitié. De fait, la première partie décrivant la captivité et la demande de rançon ne se révèle guère haletante.

Manon Dumais Lire la critique complète

La Presse

Très bon
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D'un polar qui aurait facilement pu emprunter les allures d'un feuilleton télé - la nature du sujet aurait pu s'y prêter -, Lucas Belvaux fait plutôt une étude psychologique complexe, dont les ramifications sociales et personnelles trouvent une forte résonance. Avec la performance d'Yvan Attal en prime, aussi impressionnante que troublante, Rapt se transforme en drame puissant.

Marc-André Lussier Lire la critique complète

24imag

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Mais rapidement, Belvaux laisse échapper son film. D'abord, en refermant la porte sur les questionnements fondamentaux qu'il soulève pour se concentrer sur l'enquête policière et ramener au premier plan toute la banalité d'un fait-divers somme toute sans grande incidence. Ensuite, en limitant sa mise en scène à une observation conventionnelle et sans réelle finesse des événements.

Helen Faradji Lire la critique complète

Le Monde

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Cet étalage de cynismes culmine dans la seconde partie du film, après la libération de Graff. Le vrai sujet de Rapt réside moins dans les tractations financières (la question de savoir si la rançon sera payée ou pas, par qui, comment...) que dans la solitude d'un homme, sa mise à l'écart de la société, sa chute, son déclassement social.

Jean-Luc Douin Lire la critique complète