The Old Oak : notre pub

Drame social humaniste. Appel vibrant à la générosité et la tolérance. Scénario prévisible, pas toujours subtil. Réalisation de métier. Interprétation touchante.

Pour son dernier long métrage, Ken Loach, 87 ans, offre une histoire d'espoir et de solidarité en ces temps marqués par la tentation de l'extrême droite.

Ken Loach s'avère plus sentimental que jamais avec The Old Oak, concluant une immense carrière avec un récit naïf et appuyé qui rappelle la nécessité d'être solidaire.

Or, malgré l'authenticité qui se dégage de cette peinture sociale, certains moments paraissent appuyés tandis que la conclusion hâtive semble cousue de fil blanc.

Cette exploration de la solidarité communautaire faite de multiples petits pas constitue un jalon secondaire mais nécessaire dans cette filmographie immense et presque toujours pertinente...

What Loach adds to this scenario, as he's done in most of his films, is a natural intimacy that goes beyond the issues to bring something human and emotional to the table. In its best moments, The Old Oak hits those powerful notes without pulling too hard on your heartstrings, with lived-in performances from a nonprofessional cast, including a few

Ebla Mari, the actor who plays Yara, makes Yara's despair over her missing and possibly murdered father, and her agony at having had to abandon her country, incredibly layered and precise. Her performance doesn't allow us to phone in our empathy.