Sparkle

Malgré le récit décousu aux personnages archétyés, les escales prévisibles de l'intrigue et la mise en scène sans grâce ni rythme, ce mélo librement adapté d'un drame musical datant de 1976 parvient presque par miracle à mettre en valeur la vedette montante Jordin Sparks, dans le rôle-titre.

Sparkle isn't the most harmonious composition ever assembled, but it has five-minute stretches that are both eye-opening and enchanting.

The editing is haphazard, the cinematography too dark, and there are holes in the story. If the new songs on the soundtrack are effective Motown pastiches, most of them pale beside their prototypes. But diluted Motown is better than none.

Whitney Houston deserved better than to go out onscreen with this botch job remake of a 1976 soap opera that never deserved another thought.

Les nouvelles chansons signées R. Kelly ne sont certes pas à la hauteur de la trame sonore originale signée Curtis Mayfield, mais les quatre compositions que l'on lui reprend donnent du tonus et de la crédibilité à cette histoire débalancée.

L'histoire est simpliste et les personnages finissent par manquer de complexité. Cela ne vous empêchera probablement pas d'admirer le zèle de Sparkle ou de craindre pour les imprudences de Sister.

An upgraded remake of a Motown girl group musical bids farewell to Whitney Houston.

The melodramatic story is familiar, though the talented cast makes the most of rather tired material.