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  • Avenue B Productions

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  • Axia Films

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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La belle sensibilité de l'ensemble, l'originalité de certains choix de mise en scène et la présence attachante de la réalisatrice à l'écran témoignent néanmoins d'un talent qu'on souhaite voir gagner en maturité.

Appoline Caron-Ottavi Lire la critique complète

La Presse

Très bon
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Ce long métrage de courte durée (78 minutes à peine), qui faisait partie de la sélection officielle 2020 du Festival de Cannes, révèle en tout cas chez la jeune réalisatrice un vrai regard de cinéaste. On attend la suite avec intérêt.

Marc-André Lussier Lire la critique complète

KinoCulture Montréal

Très bon
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Et comme cadeau, Lindon-fille jongle merveilleusement bien avec la comédie musicale, question d'essayer le tout pour le tout. Quelques pas dansés comme pour marquer le rythme d'une relation paradoxale à la fois impossible et pourtant souhaitée.

Élie Castiel Lire la critique complète

Le Parisien

Minable
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Aussi vaporeux qu'ennuyeux, le premier film de Suzanne Lindon, qui conte l'amour platonique d'une jeune fille pour un homme plus âgé, s'avère totalement déconnecté de la réalité du moment.

Renaud Baronian Lire la critique complète

Premiere

Pauvre
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L'épure de la mise en scène évite l'éparpillement mais l'absence de complexité du récit oblige à la répétition. Certains longs sont des courts qui durent trop longtemps.

Thomas Baurez Lire la critique complète

Le Figaro

Excellent
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Pour sa première réalisation, Suzanne Lindon trouve le ton juste, la note personnelle. Son film est une aquarelle, bercée par Christophe, Boris Vian ou Vincent Delerm. Elle a réussi son Diabolo-grenadine.

Eric Neuhoff Lire la critique complète

Le Nouvel Obs

Pauvre
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Reconnaissons à Suzanne Lindon de ne pas mentir sur ses tracas de fille de (Sandrine Kiberlain et Vincent Lindon) éprise d'un homme mûr et de les traduire avec sensibilité, en substituant la danse à l'étreinte amoureuse. Cela méritait-il une heure quinze et une sélection cannoise ?

Nicolas Schaller Lire la critique complète

Bande à part

Excellent
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Une odyssée intérieure d'une heure et quatorze minutes traversée par la sensualité, la fantaisie et la grâce.

Anne-Claire Cieutat Lire la critique complète

La Croix

Pauvre
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Écrit à 15 ans et réalisé à 19 ans, le premier film de Suzanne Lindon capte avec subtilité et grâce les premiers émois d'une jeune fille qui tombe amoureuse d'un homme plus âgé mais l'histoire reste trop ténue pour convaincre.

Céline Rouden Lire la critique complète

aVoir-aLire

Excellent
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Un joli film sur l'adolescence, mais surtout une première oeuvre d'une toute jeune réalisatrice de vingt ans, dont le talent nous laisse pantois.

Laurent Cambon Lire la critique complète

Les Fiches du Cinéma

Pauvre
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Suzanne Lindon a toujours rêvé d'être actrice, comme son papa et sa maman. Elle a donc écrit et réalisé un film pour s'en offrir le premier rôle. Mais en dressant le portrait d'une jeunesse atemporelle elle ne parvient qu'à vider cette chronique de son sens.

Marine Quinchon Lire la critique complète

Libération

Minable
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Il aurait pu y avoir un intérêt documentaire à ce que Suzanne Lindon nous offre un instantané de son adolescence privilégiée mais, en s'ingéniant à gommer toute trace de son époque (ici, on lit Boris Vian en arpentant les rues pavées de Montmartre), elle préfère assurer le SAV d'un Paris éternel qui s'étend aujourd'hui sur deux rues du Quartier latin, guère plus.

Laura Tuillier Lire la critique complète

Télérama

Minable
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Mlle Lindon, elle, a enfilé son chemisier immaculé (Chanel, remercié au générique) et en tire un long métrage d'un narcissisme embarrassant, mystérieusement sélectionné par le Festival de Cannes en 2020.

Jérémie Couston Lire la critique complète