Sainte Maude
v.o.a. : Saint Maud
Maud, une infirmière à domicile, obtient un nouvel emploi chez une certaine Amanda, une ancienne danseuse professionnelle souffrant d'une maladie incurable qui la force à rester cloîtrée dans sa grande maison. Maud devient rapidement fascinée par sa patiente et se donne la mission de sauver son âme, noyée dans le stupre et l'excès. Quand Maud tente de contrôler certains aspects de la vie privée d'Amanda, cette dernière décide de la renvoyer. Mais, ce congédiement ne déviera pas Maud de son objectif, qui croit que Dieu lui-même lui en a fait la demande.
Distribution
- Morfydd Clark (Maud)
- Jennifer Ehle (Amanda)
- Lily Knight (Joy)
- Lily Frazer (Carol)
- Turlough Convery (Christian)
- Rosie Sansom (Ester)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Escape Plan Productions
- Film4
- BFI Film Fund
distributeur
- Entract Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
La toute dernière image du film, proprement terrifiante, exprime admirablement le fossé entre le fantasme et la réalité. Morfydd Clark est habitée et poignante dans le rôle-titre, face à une Jennifer Ehle tour à tour truculente, autoritaire et vulnérable dans un contre-emploi.Lost Girls and Love Hotels
Lire la critique complèteRolling Stone
Rose Glass's directorial debut follows a hospice worker who may be talking to God, or going mad -- and turns a possible possession story into an emotional depth charge.
Lire la critique complèteJoblo.com
Making it all the better, at its core is a commanding performance by Clark, and bringing it all to life with equally commanding vision is Rose Glass in a directorial debut sure to leave a mark.
Lire la critique complèteLa Presse
La cinéaste, dont la mise en scène très étudiée est à l'avenant, propose ainsi un film évoquant les atmosphères de films l'ayant inspirée : Répulsion et Rosemary's Baby, de Roman Polanski, Persona, d'Ingmar Bergman, et The Devils, de Ken Russel. Avec de telles influences, pas étonnant que Saint Maud marque les esprits.
Lire la critique complèteCinéfilic
Épaulée par une superbe direction photo (sombre et volontairement terne) signée Ben Fordesman et par une interprétation subtile (même dans l'excès) de Morfydd Clark, Rose Glass nous offre avec Saint Maud un premier film remarquable, quelque part entre drame de la solitude (et/ou de la culpabilité) et fantastique horrifique. À ne pas manquer!
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