Les linceuls

Expérience plus conceptuelle que cinématographique. Dialogues manquant de naturel. Mise en images recherchée. V. Cassel à l'aise en alter ego du cinéaste.

Comme si le concept de « voyeurs de tombes » n’était pas en soi assez morbide et sordide, Cronenberg ajoute pour bonne mesure dans son 23e long métrage des scènes de sexe plaquées qui font sombrer The Shrouds dans la caricature de son œuvre [...]

Comme toutes les œuvres du cinéaste octogénaire, celle-ci ne plaira pas à tous, mais a de quoi charmer ceux qui le suivent depuis ses débuts.

Lorsque le film se termine, le spectateur reste perplexe, incapable de saisir pleinement les enjeux et les significations du récit.

As such, it hits surprisingly hard by the time the credits roll. It won’t be for everybody, but I’ll say this – even if you don’t like The Shrouds (which is fair), you won’t be bored by it.