Douleur et gloire
v.o.esp.s.-t.a. : Pain & Glory
v.o.esp.s.-t.f. : Douleur et gloire
Alors qu'il vit des jours difficiles happés par des douleurs physiques, le réalisateur Salvador Mallo apprend que la cinémathèque de Madrid a restauré l'un de ses films et qu'il sera présenté bientôt. À cette occasion, il se rend chez l'acteur principal du film, Alberto Crespo, avec qui il s'est disputé il y a 30 ans, pour lui proposer de présenter le film avec lui. Parallèlement à cette réconciliation, Salvador se remémore énormément de souvenirs d'enfance, ses premiers amours, sa mère. Tous ces souvenirs qui l'habitent avec l'écriture pour seule thérapie.
Distribution
- Penélope Cruz (Jacinta)
- Antonio Banderas (Salvador Mallo)
- Nora Navas (Mercedes)
- Leonardo Sbaraglia (Federico Delgado)
- Cecilia Roth (Zulema)
- Asier Etxeandia (Alberto Crespo)
Réalisation
Scénarisation
studio
- El Deseo
distributeur
- Métropole Films Distribution
Liens
Revues de presse
Médiafilm
La radieuse Penélope Cruz et la touchante Julieta Serrano incarnent à tour de rôle la mère tant aimée.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Oeuvre entière, intègre, impulsive, prise en charge par une mise en scène biographique qui épouse les codes du genre avec autant d'audace que de subtilité, n'évitant en aucun cas le pathos; pour mieux encadrer le propos, pour faire en sorte que « faire du cinéma » - et sans doute « écrire sur le cinéma » - est un acte de foi, un rituel où l'auteur nourrit son imagination en s'infiltrant chaque fois dans un nouvel univers qui parfois le dépasse.
Lire la critique complèteCinéfilic
La tranquillité du film permet à Antonio Banderas, dans le rôle d'alter ego, d'imposer sa présence. C'est pour le meilleur, tant l'acteur donne l'une des meilleures performances de sa carrière.
Lire la critique complèteLe Soleil
Et la performance stoïque d'Antonio Banderas s'avère absolument mémorable - il sauve d'ailleurs du naufrage cette oeuvre mineure, à mon avis, dans la filmographie de Pedro Almodóvar.
Lire la critique complèteLa Presse
D'évidence, on ne peut poser à 70 ans le même regard sur cette démarche qu'à 30 ou 50 ans. D'où l'impression qu'en plus d'être une oeuvre crépusculaire, Douleur et gloire constitue aussi le plus personnel des films du maître espagnol.
Lire la critique complèteCinema Blend
As you might expect, it leads to a touch of self-indulgence, as the movie equips its straight-forward plot with some deliberate pacing, but it also provides a potent and emotional experience.
Lire la critique complèteRolling Stone
The Spanish filmmaker's tale of a memory, regret and an aging director making peace with his past isn't just his most personal film -- it's also one of his greatest.
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