Black Adam
v.o.a. : Black Adam
Adrianna Tomaz est persuadée d'avoir enfin trouvé l'emplacement de la couronne de Sabaac, qui renferme énormément de pouvoirs. Elle veut la cacher plus loin encore pour éviter qu'elle se retrouve entre de mauvaises mains. Par contre, elle n'est pas la seule à être à sa recherche et les membres de l'Intergang, un groupe armé qui contrôle désormais la cité de Kahndaq, la rattrapent rapidement. Elle récite alors une incantation qui ramène à la vie Teth-Adam, un héros de l'Égypte ancienne possédant des pouvoirs incommensurables. Il aidera Adrianna à protéger la couronne et à sauver son peuple du joug de l'Intergang.
Distribution
- Dwayne Johnson (Black Adam / Teth Adam)
- Sarah Shahi (Adrianna Tomaz / Isis)
- Viola Davis (Amanda Waller)
- Noah Centineo (Atom Smasher / Al Rothstein)
- Pierce Brosnan (Dr. Fate / Kent Nelson)
- Aldis Hodge (Carter Hall / Hawkman)
- Quintessa Swindell (Maxine Hunkell / Cyclone)
Réalisation
Production
Scénarisation
- Adam Sztykiel
- Rory Haines
- Sohrab Noshirvani
- Otto Binder (Créateur du personnage)
- C.C. Beck (Créateur du personnage)
studios
- DC Entertainment
- Flynn Picture Company
- New Line Cinema
- Seven Bucks Productions
- Warner Bros.
distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Une galerie de superhéros à rabais, sortie tout droit des rejets de Marvel Comics, renforce l'impression d'un produit de seconde main, malgré un budget d'écrans verts sans nul doute pharaonique.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
On rigole, on oublie tous ses tracas sitôt les portes de la salle de cinéma franchies, on en profite pour se goinfrer de maïs soufflé... en regrettant, une fois le générique terminé (ne ratez pas la scène du milieu, même si elle a fuité dans internet) qu'on n'a pas eu un peu plus de viande sur les muscles de Dwayne Johnson.
Lire la critique complèteLa Presse
La réalisation de Jaume Collett-Serra ne se démarque d'aucune façon et accorde une belle place aux clichés. Même chose pour la musique. Entendre des mégasuccès des Smashing Pumpkins, Rolling Stones et Kanye West fait l'effet contraire de celui désiré : on décroche à l'écoute de ces pièces que l'on connaît par coeur.
Lire la critique complète