Le temps de l'Armageddon
v.o.a. : Armageddon Time
Le quartier new-yorkais de Queens, dans les années 1980. Paul n'est pas le garçon le plus assidu à l'école, passant son temps à rêvasser et à dessiner. Par un concours de circonstances, il devient ami avec Johnny, un camarade de classe afro-américain. Son influence néfaste soulève l'ire de sa famille juive, qui décide de l'envoyer à l'école privée de son frère qui est dirigée par Maryanne Trump. Entre ce nouvel entourage issu d'une classe sociale différente et la loyauté à son ami, Paul ignore qui choisir. Un mauvais coup scellera à jamais son avenir et celui de ses proches...
Distribution
- Banks Repeta (Paul Graff)
- Jaylin Webb (Johnny Davis)
- Anne Hathaway (Esther Graff)
- Jeremy Strong (Irving Graff)
- Anthony Hopkins (Grand-père Aaron Rabinowitz)
- Tovah Feldshuh (Grand-mère Mickey Rabinowitz)
- Jessica Chastain (Maryanne Trump)
Réalisation
Scénarisation
studios
- Focus Features
- Keep Your Head
- MadRiver Pictures
- RT Features
distributeur
- Universal Pictures
Revues de presse
Médiafilm
Dans le rôle de l'impertinent Paul, le jeune Banks Repeta est excellent, tandis que les parents sont campés de manière émouvante par Anne Hathaway et Jeremy Strong.
Lire la critique complèteLa Presse
Étonnamment, Armageddon Time, en lice pour la Palme d'or au Festival de Cannes, n'atteint pas dans l'ensemble la puissance d'évocation attendue. Un peu comme si James Gray avait choisi une approche tout en demi-teintes, laquelle fait en sorte que son film manque finalement un peu d'éclat.
Lire la critique complèteSéquences
Une oeuvre mélancolique où il nous fait part de l'importance de comprendre le passé familial, d'y réfléchir et de le transmettre à nos enfants, car au bout du compte, on finit tous par en sortir un peu. Et pour Gray, le cinéma est le plus beau moyen d'y parvenir.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Si le titre «Le temps de l'Armageddon» est une référence à peine voilée à l'arrivée au pouvoir de Reagan et aux effets de ses politiques sociales et économiques, c'est également un constat - peu optimiste, avouons-le - sur la fin de l'enfance et la découverte du monde des adultes.
Lire la critique complèteLe Soleil
Le réalisateur James Gray plonge dans ses souvenirs d'enfance dans Le temps de l'Armageddon, un film porté par de grands noms et de jeunes acteurs prometteurs explorant des questions raciales toujours d'actualité.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Mais le plus important, sans qu'il le montre directement, James Gray, en changeant son prénom et nom d'adolescent dans le film, crée ce personnage qui va le conduire vers cette aventure cinématographique qui, de The Yards à aujourd'hui, en passant par The Immigrant et l'éclectique The Lost City of Z constitue une des têtes pensantes des plus imposantes du cinéma américain contemporain.
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