All You Can Eat Bouddha
v.o.f.s.-t.a. : All You Can Eat Buddha
Au Palacio Hotel, tout est inclus. Il s'agit d'une oasis pittoresque dirigée par un personnel impeccablement formé. Le complexe sert des clients internationaux pour des vacances de courte durée qui cherchent à profiter du soleil, des buffets et des activités de groupe. Cependant, quand Mike arrive sur place, quelque chose change. Habité par un appétit vorace, il dévore tout ce qu'il voit et ne prend de pauses que pour dormir et regarder l'océan. Le curieux personnage possède un magnétisme mystérieux qui attire le personnel et les autres touristes. Il est clair que Mike cache quelque chose.
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- Funfilm Distribution
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Revues de presse
Médiafilm
Avec ce premier long métrage chargé de métaphores, Ian Lagarde signe une oeuvre forte et originale, qui se démarque de la production québécoise courante.
Lire la critique complèteCinéfilic
On sort de cette spirale gargantuesque aux mille et un repas avec des images plein la tête.
Lire la critique complèteLe Soleil
All You Can Eat Bouddha est un exercice déstabilisant, inspiré des maîtres du surréalisme, de Buñuel à Fellini en passant par Antonioni et Pasolini. Ce faisant, il est ouvert à toutes les interprétations - sa principale force.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Fable surréaliste hautement métaphorique, All You Can Eat Bouddha nous offre une vision originale qui nous force à oublier ce que l'on sait ou imagine du cinéma québécois. Ian Lagarde signe là un premier long métrage impressionnant.
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