Norman: The Moderate Rise and Tragic Fall Of a New York Fixer

Par sa mise en scène oppressante, Cedar suggère à la fois les traques sournoises imaginées par le protagoniste et l'étau qui se resserre sur cet escroc amoral, rendu émouvant et attachant par un Richard Gere au sommet de son art. Pour leur part, Lior Ashkenazi et Steve Buscemi se démarquent avec panache dans les rôles du premier ministre et du rabbin.

Drame urbain construit intentionnellement, du moins selon nos observations, à la manière des films de Sidney Lumet, Norman: The Moderate Rise and Tragic Rise of a New York Fixer est un film où finance, vie personnelle et dérives politiques s'entremêlent à l'intérieur d'un imbroglio qui atteint souvent des sommets dramatiques inégalés malgré le ton serein de l'ensemble.

In another strong late-career role, Richard Gere plays a New York hustler whose ambiguous connection to the Israeli prime minister causes trouble.

The energetic Ashkenazi makes for a convincing prime minister, while the sizeable supporting cast is decked out by an exemplary lineup of character actors.

All we can do is watch and squirm.

In the new comedy from the director of “Footnote,” Gere wheeler-dealers his way around Manhattan, even when no one’s listening.