L'Ouragan F.Y.T.
Nouveauté
v.o.f.s.-t.a. : Ouragan F.Y.T., L'
Montréal, 1991. Après avoir été renvoyé de son école en raison de son comportement violent et vulgaire, Delphis Denis, 11 ans, décide de prendre sa vie en main en devenant L'Ouragan. Habité par une rage incontrôlable, le jeune homme quitte l'appartement familial après l'arrestation de son père, et l'arrivée de la DPJ dans leurs vies. Déambulant en quête de repères dans les rues de la métropole, il tombe sur un groupe de punks qui le prennent sous leur aile, et lui offre une place dans un monde qui ne lui en avait jamais fait auparavant.
Distribution
- Justin Labelle (Delphis Denis (Ouragan))
- Larissa Corriveau (Florence Denis)
- Nico Racicot (Ben)
- Gabrielle B. Thuot (Mitzie)
- Émile Schneider (Yarman)
- Patrice Dubois (Monsieur Denis)
- Antoine Olivier Pilon (Jimbo)
- Joanie Guérin (Bri-Bri)
- David Giguère (Stoops)
- Margot Blondin (Bijoux)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Bunbury Films
- Rebel Labs
distributeur
- Funfilm Distribution
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Récit d'initiation trash mêlant scènes fortes et clichés. Mise en scène dynamique mais souvent tape-à-l'oeil. Direction-photo superbe. Interprétation relevée, dominée par le jeune J. Labelle
Lire la critique complèteLa Presse
En transposant L'Ouragan Fuck You Tabarnak !, son court métrage culte de 2013, en long métrage, Ara Ball (L'amour se creuse un trou) risquait d'édulcorer son personnage de jeune délinquant, qui défonce le quatrième mur en vociférant sa révolte au spectateur, ou de le rendre encore plus détestable. Or, avec la collaboration de la scénariste Tania Duguay-Castilloux, le réalisateur a préservé l'essence de l'Ouragan, pour qui le court métrage servait de percutante présentation, en tentant de l'amener sur le chemin de la rédemption. Ou, du moins, de trouver l'équilibre dans le chaos.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
La religion, connaît pas ; les bonnes manières, non plus. Ball meurt d'envie de nous provoquer, de nous permettre de nous sentir libre, de dresser le portrait (sans doute un peut trop coloré) de la communauté punk de l'époque. Peu importe, on embarque dans ce bateau ivre avec un enthousiasme délirant.
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