one life
Saw the film this afternoon WOW ! Hopkins made me cry, this film is a must see what a unbeliable story so touching I love everything about this film the actors the scenery everything was perfect . This film deserve a trophy.
Une histoire à ne pas oublier.
L'histoire vraie d'un homme ordinaire mais au coeur plus grand que nature! A revoir.
Hopkins, excellent comme toujours. Épisode méconnu de la montée du nazisme, très bien rendu, sensible et touchant. A voir.
Très bon film à faire voir à tous ceux qui ont des difficultés avec les réfugiés et demandeurs d'asile
At first I did not want to see this movie, having seen to many about that topic. The preview change that. This movie is a great one as the focus is on children during war...from Gaza to Ukraine..they are the innocent victim...and as always the reason for not acting are the same... Will cost money, they are to many for it to make a difference, it is to difficult ...etc. During the movie we are told a amazing statistic ...he, the main character save 3 times more children then survive the camps. This man never wanted the limelight lived almost the rest of life haunted by the number that I could not save. The one that he saved only finally meet him thru a tv program some 49/50 years later , and this help him moved on, letting his ghost go.
Je ne pensais pas aller voir ce film car j'en ai trop vu mais une phrase dans la bande annonce m'a fait changer d'idées ...:" ...il ne s'agit pas de moi mais des enfants ..." Cet homme sans grande envergure, plutôt effacé dans sa jeunesse ne pouvait pas rien faire pour les enfants de réfugiés ...contre et envers tous...il a été instrumental à organiser le sauvetage de centaines d'enfants ...on a qu'à penser aux enfants d'Ukraine à Gaza ou d'Haiti. Les raisons pour ne rien faire sont toujours les mêmes...cela coûte trop chère, ils sont trop nombreux cela ne fera pas de différence, c'est trop compliqué, on n'a pas la place etc...
À voir
Histoire très touchante et bons acteurs. Je recommande
Hagiographie justifiée.
Une telle histoire vraie méritait probablement son film de cinéma. Et « Une vie » rend un très bel hommage à ce jeune britannique qui en a sauvé près de 700 à Prague à l’aube de la Seconde Guerre Mondiale. Mais le matériau de base semblait peut-être un peu léger pour soutenir la durée d’un long-métrage alors les scénaristes ont choisi adroitement de faire se dérouler le film sur deux époques. La partie sauvetage de ces jeunes enfants juifs à la fin des années 30 alterne donc avec une autre à la fin des années 80 quand une célèbre émission de télévision décida de faire se retrouver Nicholas Winston et ces rescapés, devenus adultes, sur le plateau. Un choix judicieux permettant de rendre le récit plus rythmé grâce à un montage alterné plutôt convaincant. Et si le film flirte clairement avec l’hagiographie, c’est ici pleinement justifié au regard de ce que cet homme a accompli par pur bonté d`âme.
Et que dire du choix d’Anthony Hopkins... S’il y avait bien un comédien à même d’incarner une telle figure c’était bien lui, même si on aurait également bien vu un Michael Caine, qui a cependant pris sa retraite récemment. Mais Hopkins nous offre encore une belle prestation pleine d’humanisme et de justesse après celle de haut vol qu’il nous avait réservé il y a quatre ans avec « The Father » et qui lui a valu un Oscar. L’acteur se glisse avec beaucoup de tact et de respect dans la peau de cet homme simple et pétri d’humilité. Rien que son regard et ses larmes disent mille fois plus que des mots. À ses côtés, de nombreux seconds rôles de luxe (Helena Bonham Carter, Jonathan Pryce, Lena Olin, Marthe Keller, ...) lui donnent le réplique (ou pas si c’est un protagoniste issu du passé) avec tout autant de réussite. La mise en scène est certes très académique, tout comme l’est « Une vie » dans son ensemble, mais cela sied parfaitement au récit alors on ne va pas chipoter sur ce point. Si le film n’a pas la puissance de « La Liste de Schindler » sur une histoire similaire il fait son travail de mémoire et nous rappelle comment un seul acte de bonté peut avoir d’immenses (et belles) répercussions.
Avec pareille histoire on pouvait craindre que tout cela soit tire-larmes et verse dans le chantage à l’émotion. Et, en effet, difficile de retenir ses larmes à plusieurs reprises. Mais sans que cela sombre dans un pathos excessif ou de mauvais goût. La séquence sur le plateau de télévision quand Winston découvre qu’il est assis à côté de ceux qu’il a sauvé est bouleversante et nous prend retourne le cœur. C’est beau à en pleurer. Et on pleure. Peut-être même plus que dans les séquences à Prague, tout aussi émouvantes, mais qui font partie désormais de scènes maintes fois vues sur le grand écran tant cette période a été traitée des centaines de fois. « Une vie » est donc un beau moment de cinéma, fort et poignant. La reconstitution d’époque est de qualité et tout est mis en branle pour que l’on ressente l’importance des actes de cet homme. Et qu’on en prenne exemple pour un bon petit moment de cinéma et d’émotion.
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