Tout s'est bien passé
v.o.f.s.-t.a. : Everything Went Fine
André est un homme fantasque qui a toujours profité intensément de la vie. À 85 ans, il vient d'avoir un accident vasculaire cérébral. Se trouvant fortement diminué dans un lit d'hôpital, il aimerait qu'on mette fin à ses jours. Ses filles hésitent, réfléchissant aux conséquences du suicide assisté. Surtout qu'elles n'ont pas toujours été en bons termes avec cet homme égoïste. Faut-il accepter sa dernière volonté ou tenter de lui faire changer d'avis? Sa fille cadette Emmanuèle prend une décision qui aura de lourdes conséquences dans son existence et celle de son entourage.
Distribution
- Sophie Marceau (Emmanuèle Bernheim)
- André Dussollier (André Bernheim)
- Géraldine Pailhas (Pascale Bernheim)
- Charlotte Rampling (Claude de Soria)
- Éric Caravaca (Serge Toubiana)
- Grégory Gadebois (Gérard Boisrond)
Réalisation
Production
Scénarisation
- François Ozon
- Emmanuèle Bernheim (Basé sur le livre de)
studios
- Mandarin Films
- FOZ
distributeur
- MK2│Mile End
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Tiré du roman autobiographique de la regrettée Emmanuèle Bernheim, le récit piétine dans la première partie, s'accélère dans la seconde et bondit sur des ressorts comiques dans la dernière - la plus satisfaisante.
Lire la critique complèteLa Presse
Cela dit, la vedette de ce long métrage est sans contredit André Dussollier. Dans le rôle de cet homme à l'humour parfois grinçant et iconoclaste, bien décidé à en finir, le vétéran impressionne.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Transformé physiquement, André Dussollier - qui est magistral - s'est totalement investi dans ce rôle, allant jusqu'à travailler avec des orthophonistes pour apprendre à parler comme le font souvent les personnes ayant été victimes d'un AVC.
Lire la critique complèteLe Soleil
La quête pour réaliser une volonté criminalisée en France prend presque à un moment des allures de film policier. Les rebondissements ajoutent un côté enlevant au récit, mais laissent aussi une impression de passer un peu à côté du fond de la question.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Le cinéaste François Ozon donne ainsi un éclairage sensible et élégant à la question cruciale des choix de fins de vie. Alain Cavalier en avait apporté en 2019 un regard documentaire plus personnel dans Être vivant et le savoir, inspiré par le même roman autobiographique.
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