Une comédie sans plus...
J'ai essayé d'embarquer dans l'univers Shazam! mais je ne suis vraiment pas capable...Film de Super-Héros pour enfant, je ne vois aucun adulte qui ce ferait tatouer le signe de Shazam sauf pour un pari perdu 😂... Les seuls points positif sont que les effets spéciaux sont parfait et que nous apercevons Wonder Women quelques minutes!!
A surprising enjoyable moment for me
Shazam and the fury of the gods
No being a fan of the genre...it was my first...thanks to the preview...the humorous side of then tickle my mind and luckily 2,5 weeks ago on TV they were showing the first Shazam, which help a lot understanding the story...the movie is a very good entertainment, funny, very good rhythm, all the scenes are quick...but like in every movies of the genre ....super hero have to go on a quest to become a better version of themselves...at least in this franchise...they are super power given adolescents...so their quest is a given. I enjoyed myself ...it was a very good two hours of entertainment.
Deus Ex Machina.
Il n’avait pas été au goût de tout le monde, car jugé trop infantile ou à la tonalité hybride, mais beaucoup - dont on faisait -partie – ont apprécié la proposition récréative que fut « Shazam! » premier du nom. Plus ou moins associé de loin au DCU de Warner, il était le film parfait de super-héros cool et fun oscillant entre le teen-movie, le film d’aventures et celui d’action à la sauce super-héros dans un parfait équilibre. Récemment, l’origin story du personnage de sa Némésis, « Back Adam », auquel il était censé se connecter par la suite et qui était une sorte de spin-off, nous avait bien moins enchanté, noyé dans une déferlante d’effets spéciaux et un récit bien moins attachant. On avait donc peur que cette suite suive le même chemin mais il n’en est rien. « Shazam, la Rage des Dieux » est certes moins rafraîchissant et réussi que le petit miracle que fut le premier mais il ne démérite pas et on passe un bon moment.
Là où le bât blesse, c’est que ce groupe d’ados attachants étant définitivement devenus des héros à la fin du premier opus, ce second opus prend la tangente inverse : c’est-à-dire que plutôt que de privilégier le teen-movie, ou tout du moins d’en garnir une bonne partie du récit, on est davantage dans le film de super-héros mais tout de même mâtiné d’une bonne dose de coolitude propre à l’innocence et l’insouciance de l’adolescence. Et c’est un peu dommage puisque ça rend cette séquelle un peu moins originale et plus dirigée vers l’action, le super-héroïsme et le spectaculaire. De la même manière, c’est conséquemment un peu moins drôle, un peu moins fun et un peu moins différent du tout-venant des films de super-héros. L’autre petit point faible de cette suite est le postulat de départ et les motivations des méchantes (des divinités grecques). Cela a beau être original et bien représenté visuellement, les enjeux et les raisons de leur courroux sont un peu brouillonnes ou mal exposées et juste le prétexte à une succession de scènes d’action.
Passé cette petite déception, on passe un bon moment. Les séquences à grand spectacle en mettent plein la vue et son superbement mises en scène. De la scène de sauvetage sur le pont en début de film qui rappelle un peu un épisode de « Destination finale » puissance mille au final avec cet arbre géant et les créatures qui en sortent, c’est impressionnant et jubilatoire en plus d’avoir des effets spéciaux numériques de très grande qualité. Même si ce bouquet final a tendance à s’éterniser un peu comme souvent chez Warner et le DCU. Et de mixer mythologie grecque et film super-héroïque à la sauce adolescente apporte un certain charme désuet sur le fond mais magnifique sur la forme. Helen Mirren et Lucy Liu sur son dragon viennent s’amuser avec nous et on a le droit à une petite surprise finale du meilleur effet. Bref, ce n’est pas aussi rafraîchissant et surprenant que le premier opus mais ce « Shazam, la Rage des Dieux » fait son petit effet et son travail de divertissement bien mené, chose dont tous les blockbusters actuels ne peuvent se targuer.
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