Révolution
v.o.a. : Revolution
En 2006, Rob Stewart a produit le documentaire Sharkwater pour tenter de sensibiliser la population à l'extinction progressive des requins. À travers ses recherches, il a découvert que ce n'était pas uniquement les requins qui étaient sur le point de s'éteindre, mais les humains aussi. Dans son nouveau film, Revolution, le cinéaste démontre à quel point la pollution, la déforestation, les usines à charbon, les émissions de gaz carbonique, les sables bitumineux et la surpêche peuvent influencer l'environnement de telle façon qu'ils entraîneraient notre disparition. Stewart invite les habitants de la planète à se mobiliser pour sauver cette Terre qu'on habite et que, trop souvent, on déshonore.
Réalisation
Production
Scénarisation
distributeur
- D Films
Revues de presse
Médiafilm
L'ensemble prend la forme d'un carnet de voyage assez brouillon et un brin égocentrique, superposant à des images de nature parfois spectaculaires les propos un peu simplistes du cinéaste.
Lire la critique complèteLe Soleil
Son plus grand intérêt réside dans l'approche multisectorielle de la pollution et de la surconsommation ainsi que dans sa facture visuelle: pas seulement de superbes images, mais aussi un montage dynamique.
Lire la critique complèteCanoë
C'est de la nourriture pour l'esprit qui, honnêtement, aurait été davantage adaptée à une série télévisée sur la chaîne BBC. En gros, Révolution recense tous les maux qui rongent le monde, une sorte de gros catalogue.
Lire la critique complèteVoir
Or, il semble que le documentariste, qui aimait déjà se mettre en valeur à l'écran, ait depuis développé un ego surdimensionné. De fait, ayant découvert ces dernières années que d'autres espèces aquatiques étaient en danger, menaçant du coup l'équilibre de notre planète, Stewart propose un discours militant aux arguments parfois simplistes en se donnant des airs de héros.
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