Neil Young Journeys
En mai 2011, Neil Young donne un concert au Massey Hall de Toronto, une salle iconique de sa ville natale. Profitant du temps libre qui s'offre à lui, il part à la recherche des lieux qui ont marqué son enfance afin de raconter, à la caméra, l'histoire de sa famille et des débuts de sa carrière. Tour à tour, il redécouvre son ancienne maison, son ancienne école, l'école qui porte le nom de son père, et ainsi de suite. À chaque fois, l'émotion s'empare de lui à mesure qu'il plonge dans ses souvenirs. Sur scène, il chante ses grands succès, ceux qui ont fait sa renommée à travers les décennies.
Réalisation
Production
studios
- Clinica Estetico
- Shakey Pictures
distributeur
- Métropole Films Distribution
Revues de presse
Médiafilm
Jonathan Demme parvient une fois de plus, depuis son coup de maître Stop Making Sense, à dynamiser la formule du concert filmé, notamment en plaçant une caméra au bout du micro de l'artiste, toujours allumé à 66 ans.
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Les admirateurs retrouveront un Neil Young capable de la plus grande douceur, mais qui, l'instant d'après, peut déclencher une tempête avec sa seule guitare électrique. Un artiste vrai et passionné qu'aucune caméra ne nous montré d'aussi près que celle de Jonathan Demme.
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Tournées caméra au poing, les images de Neil Young Journeys sont tremblotantes et tanguent même vers la facture télévisuelle. Si au moins ce choix stylistique menait à de grandes confidences ou à de beaux moments, mais non.
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