Mon ami robot
v.o.sans dialogue : Robot Dreams
Se sentant seul, un chien se procure un jour un robot. Dès leur rencontre, les deux nouveaux amis partent à la découverte du New York des années 1980. Un monde que le compagnon métallique découvre avec un émerveillement constant. À la fin d'une journée à la plage, les batteries du robot sont à plat, et le chien doit se résoudre à laisser son camarade allongé sur le sable pour la nuit. Le lendemain, le chien découvre que la plage ne sera pas accessible avant l'été prochain. C'est le début de longs mois d'attente pour le robot immobile, mais toujours conscient, qui rêve sans cesse du retour de son compagnon, qui, pour sa part, doit de nouveau faire face à la solitude.
Réalisation
Scénarisation
studios
- Arcadia Motion Pictures
- Lokiz Films
distributeur
- Entract Films
Revues de presse
Médiafilm
Adaptation vivante et colorée d'un roman graphique de Sara Varon. Attachante réflexion sur la fragilité des liens d'amitié. Réalisation alerte et astucieuse. Trame musicale emballante.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Comment ne pas succomber au charme de ce film d'animation qui s'adresse à tous?
Lire la critique complèteLa Presse
Lassé de la solitude dans son appartement à Manhattan, Chien se fait livrer un ami automate. Robot et lui fileront le parfait bonheur jusqu'au jour où le compagnon métallique restera coincé sur la plage.
Lire la critique complèteVariety
Above all else, Berger's film delights in the kind of eccentric, incidental sights and sounds from which dreams -- human, animal or android -- can spring.
Lire la critique complèteThe Wrap
Robot Dreams--as much a movie about coupledom as it is about friendship--sneaks up on you with an ending that both eulogizes the ones that got away and celebrates the memories that they had left behind.
Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
The use of music and sound design is very thoughtful throughout, capturing the way music by street performers makes life in the city feel like a musical all the time while the murmur of traffic and general hubbub creates its own atonal backing track.
Lire la critique complète