Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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Si la réalisation de Manon Briand s'avère vivante, grâce à un rythme soutenu de même qu'une direction artistique et une photographie lui conférant un charme vintage, Liverpool est trop souvent alourdi par l'interprétation inégale et sans conviction des acteurs principaux.

Manon Dumais Lire la critique complète

La Presse

Acceptable
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Le film de Manon Briand est truffé d'idées intéressantes, au scénario comme à la réalisation. Mais sa partition, dans l'ensemble, reste hésitante. Liverpool ressemble à un édifice fragile auquel on aurait successivement ajouté des éléments disparates, en rendant la construction de plus en plus bancale.

Marc Cassivi Lire la critique complète

Panorama-Cinéma

Pauvre
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De son côté, Manon Briand y va d'une réalisation beaucoup trop rigide et maladroite, frôlant parfois même l'amateurisme, pour réussir à imprégner son film de cette liberté que réclament inlassablement ses deux principaux personnages et à tirer profit, par la même occasion, de la direction photo plus que convenable de Claudine Sauvé.

Jean-François Vandeuren Lire la critique complète

Agence QMI

Pauvre
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Décidément, l'année 2012 n'est pas un grand cru pour le cinéma québécois et Liverpool se situe dans cette tendance d'une bonne idée qui, malheureusement, dérape.

Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complète

Films du Québec

Acceptable
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Bénéficiant d'une intrigue bien construite, pour peu qu'on lui pardonne ses rebondissements tirés par les cheveux, cette petite comédie romantique à la mode a des armes pour plaire, à condition de pouvoir trouver son public.

Charles-Henri Ramond Lire la critique complète

24imag

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En effet, sous ses allures de comédie romantique à saveur urbaine, Liverpool a tout du film pour enfants. Les enjeux sont simples, la finale est ficelée comme un paquet-cadeau, les méchants ont l'air menaçant, les héros sont tout gentils et il y avait longtemps qu'on n'avait pas vu des personnages adultes aussi asexués - la timidité et le romantisme n'excusent pas tout.

Éric Fourlanty Lire la critique complète