Les seigneurs
L'ancienne gloire du football français Patrick Orbéra est contraint d'accepter le poste d'entraîneur de l'équipe de Molène, un petite île de pêche de Bretagne, s'il veut revoir sa fille. Sa mission : faire progresser l'équipe jusqu'à un match de Coupe de France à Brest. Les habitants de l'île doivent réunir des fonds afin de sauver la conserverie, qui emploie la majorité des villageois. Afin de revigorer cette équipe moribonde, Orbéra fait appel à d'anciens amis à la retraite dont David Léandri, qui souhaite devenir acteur, Rayane Ziani, aux prises avec de sérieux problèmes d'angoisse, le violent Shaheef Berda, le drogué Marandella et Wéké N'Dogo, qui a des problèmes cardiaques.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Vito Films
- TF1 Films Productions
distributeur
- Axia Films
Revues de presse
Médiafilm
Peuplée de personnages caricaturaux, cette comédie bouffonne à saveur sociale enfile les scènes burlesques défendues par des humoristes en roue libre.
Lire la critique complèteLe Soleil
Pour Les seigneurs, l'intrigue est aussi mince qu'une feuille de papier, les personnages sont stéréotypés et les dialogues sont tellement insignifiants qu'ils font passer Peter MacLeod pour un génie littéraire. Résultat : une heure et demie de pitreries pour un long métrage en droite ligne avec «l'esthétique 1970» des Charlots.
Lire la critique complèteAgence QMI
Du coup, même si la distribution du film d'Olivier Dahan est magistrale - on y trouve Franck Dubosc, Gad Elmaleh et Omar Sy -, le tout ne m'a arraché que quelques sourires, sans jamais m'enthousiasmer.
Lire la critique complèteLa Presse
Même si on sent que les acteurs s'amusent ferme, leurs performances sont loin d'être inoubliables, d'autant plus que chacun y va de son petit numéro.
Lire la critique complèteL'Express
Cette comédie sociale au gros casting n'est pas le film du siècle, mais donne le sourire.
Lire la critique complèteLe Parisien
En dépit de quelques brèves faiblesses de rythme, « les Seigneurs », soutenus par une bande originale ajustée aux péripéties de cette bande on-ne-peut-plus originale, touchent au but : divertir et émouvoir.
Lire la critique complèteLe Nouvel Obs
On rit aux « Seigneurs » comme à un bon nanar : de bon coeur mais avec un soupçon de consternation. Pourquoi diable Olivier Dahan s’est-il fourvoyé dans cette galère ?
Lire la critique complète