Gérontophilie
v.o.a. : Gerontophilia
v.o.a.s.-t.f. : Gérontophilie
Lake a 18 ans et il vit avec sa mère à Montréal. Il a une petite amie, Desiree, une fervente féministe. Alors qu'il réalise qu'il est attiré par les hommes âgés, Lake se trouve un emploi dans un centre de soins pour aînés, où il se lie d'amitié avec Walter Peabody, un octogénaire. Les deux hommes développent rapidement une relation intime et un sentiment amoureux. Déterminé à sauver M. Peabody des mauvais traitements qu'il subit, Lake se sauve en voiture avec lui. Ils veulent se rendre jusqu'à l'Océan Pacifique. Épanoui au cours de ce voyage, M. Peabody attise pourtant la jalousie de Lake.
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Productions 1976
- New Real Films
distributeur
- Filmoption International
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Hélas, l'exercice faussement subversif se révèle bien vite racoleur et artificiel. Ainsi, La Bruce met l'accent sur la perversion et les tabous, au détiment des sentiments et de la sincérité de l'acte amoureux.
Lire la critique complèteLa Presse
Grâce aux deux acteurs en présence, dont il faut saluer le culot, Gerontophilia distille plutôt une infinie délicatesse, sertie d'une réflexion sur le traitement infantilisant des aînés en fin de vie.
Lire la critique complèteAgence QMI
L'intérêt particulier du film réside dans le fait que LaBruce joue avec les tabous et les complexités de notre société (jeunes vs vieux, blancs vs noirs, anglais vs français) sans se gêner, et tout ça semble à ce point surréel que ça passe comme lettre à la poste.
Lire la critique complèteQuatre trois
Ce qui manque cruellement à Gérontophilie, c'est de l'humour, une pointe de satire, de férocité, de transgression propre aux premiers films de Bruce LaBruce.
Lire la critique complèteSéquences
Sur ce point, il est tout de suite évident que le réalisateur ne se sent pas en terrain connu, accumulant les codes racoleurs pour épater la galerie.
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