Ne t'inquiète pas chérie
v.o.a. : Don't Worry Darling
v.o.a.s.-t.f. : Ne t'inquiète pas chérie
La communauté Victory est un lieu utopique. Pendant que les hommes travaillent à des projets secrets, les femmes s'occupent des enfants et de la maison, en plus de s'amuser entre copines. Les seuls endroits qui leur sont proscrits sont le désert et le quartier général. Lorsqu'une ancienne amie développe des comportements de plus en plus erratiques, Alice commence à se poser des questions. Que désire au juste Jack, le créateur de cette société expérimentale? Et pourquoi est-elle sujette à des hallucinations? Lorsqu'un avion s'écrase en dehors de la communauté, la jeune femme explore la zone interdite, ce qui lui causera des problèmes...
Distribution
- Florence Pugh (Alice Chambers)
- Harry Styles (Jack Chambers)
- Olivia Wilde (Bunny)
- Chris Pine (Jack)
- Gemma Chan (Shelley)
- KiKi Layne (Margaret)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- New Line Cinema
- New Line Productions
- Vertigo Entertainment
- Warner Bros.
distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Dans la veine de sa performance dans Midsommar, Florence Pugh joue avec l'intensité requise, face au chanteur Harry Styles (DUNKIRK), assez convaincant dans son premier grand rôle au ci
Lire la critique complèteCinema Blend
It's well-made in its cinematography and style, and Florence Pugh continues to demonstrate that she is among the greatest talents in her generation, but the film is lacking in enough areas to not be buoyed by its best qualities.
Lire la critique complèteJoblo.com
Don't Worry Darling is a good attempt at doing something different for Olivia Wilde as a director. As good as the visuals and some of the performances can be, it doesn't make for an interesting film.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Car le scénario - parfois ultra prévisible... dommage - de Katie Silberman laisse quelques trous béants.
Lire la critique complèteEntertainment Weekly
But the movie, whatever its pile of ideas about love, gender constructs, and modern living, never really transcends Stepford mood-board pastiche. It's all nefarious and gorgeous, Darling, and strictly nonsense in the end.
Lire la critique complèteLa Presse
Après l'excellent Booksmart, Olivia Wilde offre à titre de réalisatrice une production ambitieuse, très léchée (la direction artistique ramène l'iconographie de l'époque dans tout son éclat), minée cependant par une pirouette scénaristique qu'on voit trop venir de loin.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Wilde évite le graphisme opulent, optant pour les sensations, les incidents de parcours plus suggérés que trop démonstratifs. La réalisatrice, très présente à l'écran comme comédienne, a bien appris de ceux qui lui ont fait confiance.
Lire la critique complète