L'ALIEN CONTRE-ATTAQUE
Mon dieux que sa fait du bien, depuis que Ridley Scott nous avait donner cette purge qu'était prométéus il a décider de recommencer pour un résulta plus que convainquant ou plutôt éffraiyent chaque moment de tension est réussite. Enfin un bon film d'alien et une bonne explication de son origine cela dit j'ai chercher pour trouver la patte de Ridley Scott.
Du décevant au superbe!
Je m'étais préparé en revoyant tous mes anciens "Alien" incluant le Promotheus, avant d'aller voir ce film que j'attendais depuis longtemps. Pour moi un excellent film de science fiction doit "flirter" avec notre réaliste de terrien: il faut que cela soit possible...probable...concevable!
C'est ici la première faiblesse du scénario: la non cohérence entre le volet temporel du film et la croissance de la "bête", on beurre un peu épais ici et bien au delà du "possible"! Mais je doit avouer qu'il en était de même pour tous les "Alien" antérieurs. Le deuxième point qui m'a déçu c'est toutes les erreurs aberrantes, et les comportements hystériques, que l'on "infligent" aux personnages en début de film afin de créer une ambiance catastrophiques. Un tel équipage - il ne s'agit pas des "colons ici" - avait dû au préalable passer "moultes" tests avant d'être sélectionné pour un tel voyage. Encore ici on a "beurrer" beaucoup trop épais! La troisième incohérence consiste en l'inadéquation entre le décor (i.e. l'habitat) de la planète, ses habitants d'origine (les créateurs... nos ancêtres?) et leurs vaisseaux spatiaux aussi technologiquement avancés! Voici pour le négatif.
Je n'ai jamais vu un intérieur de vaisseau spatial - le vaisseau Covenant - aussi "réaliste" et bien fait, et j'en ai vu des films de ce genre, c'est remarquable! La deuxième partie du film est fort convaincante et palpitante, malgré les maladresses un peu exagérées d'un certain pilote de navette, et la fin... est plus qu'originale. Ce film nous permet de faire un lien possible entre le Prometheus (2093), le présent film (Covenant, 2104) et le suivant, Alien le huitième passager (2122). Les facettes philosophiques et éthiques abordées sont forts congrues. Cette réflexion sur l'origine humaine est fort intéressante, mais elle nous laisse, comme il faut s'y attendre, plus de questions que de réponses.
Un film définitivement à voir!
PS. Sans la présence de Micheal Fassbender ce film aurait été anémique!
La mort qui vous enc*** avant de vous tuer
J'étais avide de voir finalement la suite de "Prometheus" sorti en 2012. Et bien que mes souhaits quant à cette suite ne se sont pas tous concrétisés, je ne peux quand même pas renier la qualité de cette oeuvre cinématographique.
Dès les premières minutes, Ridley Scott nous offre des images d'une qualité visuelle époustouflante que seul ce maître de la cinématographie est capable. Et elle ne baisse jamais, que ce soit au niveau des décors, des costumes, des environnements extérieurs et bien sûr des effets visuels (note spéciale à Duy Tran, mon prof de ZBrush, qui je crois à modéliser le xénormorphe).
Le récit débute avec l'équipage du Covenant, en route vers un monde Éden afin de créer la toute première colonie humaine extraterrestre. Lorsqu'un accident survient et que les membres d'équipage se réveillent afin de réparer le vaisseau, ils captent un étrange signal provenant d'une planète toute proche. Si cette prémisse est semblable au scénario original de "Alien" sorti en 1979, réalisé également par Scott (et c'est aussi le film qui lui a valu ses galons de réalisateur émérite), il ne tarde pas au spectateur averti de déceler les nombreuses références, autant visuelles que scénaristiques, au tout premier chapitre de cette saga de l'horreur et de la science-fiction. Il semblerait que M. Ridley Scott soit comme l'un de ces auteurs qui aiment bien faire des auto-citations.
Le film répond finalement à certaines des questions laissées en suspens dans l'oeuvre précédente. Afin de ne rien "spoiler" à personne, je n'en ferai pas mention. Quoique je me dois de vous avertir, certaines de ces questions demeurent inexpliquées ou sont passablement effleurées. Et à la fin du visionnement, le spectateur ressort de la salle un peu désarçonné et se demande s'il n'aurait pas dû resté jusqu'à la fin du générique pour voir s'il n'y avait pas de scène "after-credits". Espérons que ces nouvelles questions seront à leur tour répondues dans la suite, la dernière d'une trilogie qui fera le pont avec le tout premier chapitre de la série qui mettait en vedette Sigourney Weaver.
Ce qui m'a plu le plus de ce film, c'était cette tension inextricable qui ne cessait de croître tout le long du récit. Dès le début, après le générique d'ouverture où le titre "Alien: Covenant" apparaît de la même manière que son homologue de 1979, on ne peut que rester cramponner à son siège. En tout cas, moi j'étais rivé à l'avant sur le bord de mon siège, tendu et appréhensif de ce qui allait se passer ensuite, de scène en scène.
J'ai aussi bien aimé qu'on réduise au minimum les scènes avec la créature. De nos jours, on tente de montrer le monstre le plus possible, ce qui résulte en fin de compte à ne plus avoir peur de lui. Dans ce film, Scott a utilisé le bon vieux truc : montrer le moins possible et rester dans l'ombre. Les scènes où elle est présente sont alors plus efficaces. Mais il n'a pas pu s'empêcher de déroger à cette règle, et ce à plus d'une occasion. Et le fait qu'elle ne fait pas sa grande apparition avant la moitié du film me rappelle "Les dents de la mer", où on ne voit que très peu le requin et seulement vers la fin. Certains diront qu'il y aurait dû avoir plus de scènes avec ces bestioles de cauchemar, mais je crois qu'ils ont tort de penser ainsi.
J'aimerais aussi souligner le magnifique travail de Jed Kurzel, le compositeur, pour son hommage à Jerry Goldsmith, en reprenant son thème du film original et pour sa superbe musique qui donne le ton au film.
Mention spéciale à Katherine Waterston, à la fois fragile et combative. Très belle performance. Et que dire de Michael Fassbender. Encore plus dérangeant et malaisant qu'auparavant. Mais dans le bon sens, qu'on se le dise.
Le thème de la création est omniprésent, encore plus selon moi que dans "Prometheus". De plus, je crois qu'il a été exploité d'une très belle façon, à la fois poétique et métaphysique et nous offre un regard différent sur la saga "Alien".
Et je mets au défi quiconque sera capable de reconnaître le plan qui fait hommage à l'oeuvre du peintre Arnold Böcklin, "LÎle des morts". Très belle touche artistique de la part de Ridley Scott.
En somme, très bon film de science-fiction, du moins selon mes critères. Intelligent, terrifiant (il m'a pris au dépourvu en me faisant sursauter deux fois, alors que j'aurais dû m'y attendre), poétique et mélancolique, d'une certaine manière. Il y a cependant quelques accrocs comme des "plotholes", ces aberrations scénaristiques qui après seconde réflexion ne font pas du tout ou peu de sens. J'espère qu'il y a des gens qui partageront avec moi la même appréciation de ce film. Sans dire que c'est un futur chef-d'oeuvre du genre, je crois que "Alien: Covenant" se démarque par sa distribution efficace, son atmosphère tendue, sa majestueuse cinématographie, sa musique mémorable et par ses révélations qui changent complètement notre perception sur la genèse de ces monstres extraterrestres.
Quel est le fil conducteur?
Après autant de film, on ne sait toujours pas l'histoire de base. une bébitte qui grandi un peu trop vite par moment. Déçu. J'espère que le livre est meilleur ! ;-)
Manque D'alien
Film d'alien mais pas d'alien ....
Très décevant
L'histoire de ce film est excellente mais le film est lent et monotone.
Un brin décevant..
Ordinaire. Les acteurs sont assez bons dans leur rôle (surtout Michael Fassbender) mais ce n'est pas suffisant pour faire oublier qu'il n'y a tout simplement pas d'histoire. Les effets spéciaux sont géniaux, les xénomorphes n'ont jamais été aussi réel mais bon, on sort du film avec une impression qu'on comprend pas...
Plus d'explications
Je crois que pour apprécier ce film à sa juste valeur, il faut être fanatique de la série de films Alien. En sortant de la salle, j’avais le goût de revoir les premiers films afin de mieux comprendre. Tout un mélange de psychologie et de science-fiction. Les effets spéciaux sont beaux comme la planète, les aliens, etc. J’aurai voulu plus de suspense, plus de sursaut, plus de peur. Je pense que sans Micheal Fassbender le film aurait été très ennuyant.
Une histoire prenante au rythme effréné
Ridley Scott et son équipe ont fait une suite réussi à Prometheus en réunissant les ingrédients du film d'action/gore et ceux d'un scénario bien équilibrée évitant les scènes inutiles. C'est son rythme effréné qui donne toute sa force à Alien Covenant. Ridley Scott voit loin: il dévoile l'origine surprenante des Aliens, utilise des personnages attachants (ou détestables), nous offre des scènes chocs et surprend par les sujets philosophiques et éthiques qu'il aborde sans surcharger le film. Intelligemment, ce n'est pas la bête qui est au coeur du film. Je ne vous en dis pas plus mais ayez en tête l'historie de Prometheus pour profiter pleinement d'Alien Covenant. La façon de faire des films a bien évoluée en 40 ans et le cinéma d'aujourd'hui mise sur le sensationnel et les effets spéciaux (la créature est splendide) et non plus sur l'effet de surprise claustrophobique que l'on trouve dans le premier Alien. Cela a l'avantage de faire quelque chose de nouveau mais la frayeur qu'inspirait la bête il y a 38 ans a disparu. Il devient donc inepte de comparer deux films aux genres cinématographiques totalement différents et séparés par 2 générations de cinéastes. Ridley Scott l'a bien compris. Bon film!!!
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