Voici les nouveautés de la semaine. Une seule prend l'affiche partout au Québec, soit Aeon Flux.
Aeon Flux (Aeon Flux) - États-Unis - 93 min. Réalisé par Karun Kusama. Avec Charlize Theron, Marton Csokas.
En 2415, les survivants de l'espèce humaine ont trouvé refuge dans la cité de Bregna, dirigée d'une poigne de fer par le puissant Trevor Goodwin. Faisant partie d'un groupe clandestin de rebelles aguerris, la tueuse professionnelle Aeon Flux n'a qu'une idée en tête, venger le massacre de sa famille par des agents de Goodwin. Or, sa prochaine mission consiste justement à assassiner ce dernier. Il appert que la jeune femme est la plus qualifiée pour cette tâche, sa maîtrise du maniement des armes à feu et son agilité physique la rendant particulièrement redoutable. Mais au cours de sa mission, Aeon fait de troublantes découvertes sur le gouvernement de la cité, qui remettent tout en question.
In the Mix - États-Unis - 96 min.
À Montréal et Hull seulement.
Réalisé par Ron Underwood. Avec Usher, Chazz Palminteri.
Le meilleur DJ de New York sauve la vie d'un criminel. Comme récompense, il devra surveiller la fille du criminel et en tombera rapidement amoureux.
L'annulaire - France, Allemange, Grande-Bretagne - 100 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Diane Bertrand. Avec Olga Kurylenko, Marc Barbé.
Travaillant dans une manufacture de limonade, la jeune Iris se coupe accidentellement l'annulaire. Troublée par l'incident, elle quitte l'usine et s'installe dans un hôtel près du port, où on lui loue une chambre occupée par un marin qui travaille de nuit. Cherchant un nouvel emploi, Iris réussit à se faire engager comme assistante dans un étrange laboratoire dont la mission consiste à fabriquer et conserver des «spécimens» de diverses natures, représentant les souvenirs de clients éplorés. Comme sous l'effet d'un envoûtement, la jeune femme développe une attirance sexuelle de plus en plus forte pour le mystérieux directeur du laboratoire. Par ailleurs, elle tente de provoquer une rencontre avec le marin inconnu qui partage sa chambre.
Cake - États-Unis, Canada - 94 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Nisha Ganatra. Avec Heather Graham, David Sutcliffe.
Pippa McGee, une journaliste irresponsable qui, à 29 ans, tient à demeurer célibataire, revient s'installer chez son père veuf Malcolm, propriétaire d'un empire de presse. Or, le lendemain de son arrivée, ce dernier est victime d'un malaise cardiaque. Pour lui prouver sa valeur, Pippa accepte de remplir le poste vacant d'éditrice d'un de ses magazines. Mais elle découvre que ladite revue, au bord de la faillite, fait la promotion du mariage. Le premier numéro sous sa gouverne se révélant désastreux, Pippa consent à suivre les conseils de Ian, un séduisant mentor que lui a imposé son père et qu'elle déteste depuis leur rencontre orageuse au mariage d'une amie. Pourtant, lors d'un congrès à Niagara Falls, ils s'éprennent l'un de l'autre, mais après une nuit torride, Pippa s'enfuit par peur de l'engagement.
Désobéir - Québec - 82 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Patricio Henriquez.
Par conviction personnelle, trois militaires, l'Israélien Igal Vega, le Chilien Efrain Jana et l'Américain Camilo Mejia ont refusé d'exécuter des ordres qu'ils jugeaient immoraux ou inhumains, au risque de s'exposer à de dures représailles de la part de leurs supérieurs.
The Gospel - États-Unis - 103 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Rob Hardy. Avec Boris Kodjoe, Idris Elba.
Un chanteur de Rhythm'n' Blues revient dans sa ville natale d'Atlanta en apprenant que son père, un ministre baptiste, est mourant. Utilisant son statut de star pour renflouer les coffres de l'église, il entre en conflit avec son ami d'enfance, nommé nouveau ministre.
Petit Pow! Pow! Noël - Québec - 91 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Robert Morin.
La nuit du 24 décembre, le cinéaste Robert Morin surgit dans le centre hospitalier de soins de longue durée où réside son père André. Armé d'une caméra vidéo et d'une seringue hypodermique remplie d'eau de javel, l'intrus a la ferme intention de régler pour de bon ses comptes avec son géniteur, devenu handicapé et autiste à la suite d'un accident de train il y a plus de vingt ans. Martyrisant le malade en l'ébouillantant sous la douche, s'amusant à l'humilier en le filmant lors de son changement de couches par les préposés aux bénéficiaires, le réalisateur déverse sa rage sur cet homme fermé qui n'a jamais su communiquer avec lui.