Une nuit pour survivre
v.o.a. : Run All Night
Jimmy Conlon et Shawn Maguire sont des amis depuis de nombreuses années. Ils étaient des escrocs à une certaine époque et se sont toujours promis fidélité. Mais lorsque Jimmy assassine le fils de Shawn alors que ce dernier allait tuer le sien, l'amitié entre les deux hommes se transforme en une haine viscérale. Shawn veut se venger et considère que la seule manière de le faire serait de tuer le fils de Jimmy pour que ce dernier comprenne la douleur que représente la perte d'un enfant. Jimmy décide donc de protéger son fils contre son ancien confrère et ses hommes de main qui se sont lancés à sa poursuite.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Energy Entertainment
- Vertigo Entertainment
distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Bien que convenue, la réalisation de Collet-Serra s'avère efficace, et Neeson joue de manière solide une partition qu'il connaît par coeur.
Lire la critique complèteSéquences
Le cinéma d'action du jeune cinéaste est le plus souvent rempli de promesses.
Lire la critique complèteLa Presse
Dommage que le récit n'ait pas développé davantage cet aspect. D'autant que les deux vétérans sont quand même des pointures.
Lire la critique complèteJoblo.com
In the end, Run All Night stop short of being a really rock-solid action vehicle, but it can't be denied it's probably Neeson best all-out genre exercise in a while.
Lire la critique complèteCanoë
Au final, Une nuit pour survivre s'impose comme un bon divertissement, surtout après l'atroce L'enlèvement 3.
Lire la critique complèteVariety
Ultimately, Run All Night doesn't go far enough in any particular direction to make it stand out among Neeson's late-career best (...).
Lire la critique complèteCinema Blend
Run All Night surprisingly manages to be both, and takes the audience on a thrilling chase through the darker, grimier parts of New York City everyone tends to forget exist.
Lire la critique complèteRogerebert.com
Some of Run All Night doesn't make a lot of sense and I wished for a little more grit and a little less polish in some of its darker beats (...).
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