Prometheus

Toutefois, le souffle épique de certaines séquences et la profondeur scientifique de plusieurs échanges emportent l'adhésion.

The visuals and scope of Prometheus are captivating, but the story drops constant hints at something bigger and more complete, then throws up its hands and follows through on none of it in the end.

A lot of the pleasure of Prometheus is in that hovering. Once the themes touch down and the arc of the story becomes clear, some disappointment sets in.

Prometheus réussit donc à s'imposer comme une oeuvre autonome résolument tournée vers l'avenir, mais sachant faire bon usage des éléments ayant marqué son passé. La vision extrêmement ambitieuse d'un cinéaste qui sera parvenu à faire évoluer l'essence de l'une de ses plus célèbres réalisations, et ce, avec une vigueur dont on ne l'en croyait plus capable.

The ending isn't squishy scary or deeply satisfying. Bummer. Otherwise, Prometheus – especially in its spellbinding first hour – kicks ass so hard and often that it's impossible not to be thrilled by it.

Les effets spéciaux sont de tout premier ordre, et la technologie 3D est ici judicieusement utilisée. Mais le bât blesse sur le plan du récit.

Fort de décors à couper le souffle, d'enjeux dramatiques angoissants et d'une ambiance suffocante à souhait, le résultat s'avère un parfait hybride de science-fiction et d'horreur rarement vu au grand écran.

A visually stunning return to science fiction by Ridley Scott caters too much to audience expectations when more imaginative boldness would have taken it further.

The special effects in Prometheus may be the most dazzling of any film this year, and not since Avatar has 3-D technology been put to such vividly mesmerizing use.

Ridley Scott livre un film visuellement et techniquement impeccable, mais se contente du minimum en ce qui concerne le scénario.