Laurence Anyways
v.o.f.s.-t.a. : Laurence Anyways
Montréal, 1989. À l'âge de 35 ans, Laurence Alia, professeur de littérature au cégep, annonce à sa conjointe Fred qu'il souhaite maintenant vivre sa vie comme la femme qu'il a toujours été. Cette dernière accepte difficilement ce changement mais décide quand même de rester auprès de lui, par amour. Au travail, dans son quotidien, auprès de sa mère, le changement de Laurence est essentiel à son identité. Mais la situation devient insoutenable pour Fred, qui disparaît. Bien des années plus tard, Laurence la retrouve à Trois-Rivières, mariée et mère de famille. Leur amour du passé existe-t-il toujours?
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Lyla Films
- MK2 Productions
distributeur
- Alliance Vivafilm
Revues de presse
Médiafilm
Le problème, c'est que l'auteur évoque cette touchante démarche personnelle et sentimentale à travers un récit trop étiré, d'une vérité psychologique pas toujours probante, et peuplé de personnages secondaires qui s'avèrent souvent accessoires ou mal dessinés, quand ils ne sombrent pas dans la caricature embarrassante.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complèteLe Soleil
Avec ce film maîtrisé et soigné, Dolan démontre qu'il possède une signature aussi vivante que singulière. Une carrière à la mesure de ses (grandes) ambitions l'attend plus que jamais.
Normand Provencher Lire la critique complèteJournal de Montréal
Le verdict? Une grande fresque sublime et émouvante, qui réunit le meilleur du cinéma de Dolan, avec ses qualités et ses excès.
Maxime Demers Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Autant le dire, Laurence Anyways est à la hauteur de ses ambitions, respecte la promesse implicite lancée depuis les premières heures du projet.
Guilhem Caillard Lire la critique complèteCanoë
Côté distribution, le cinéaste n'aurait pu faire de meilleurs choix : Suzanne Clément est tout simplement... parfaite, Melvil Poupaud est crédible, posé et attachant, Monia Chokri est encore une fois surprenante, tandis que Denise Filiatrault, Magalie Lépine-Blondeau et Nathalie Baye ont chacune leur moment de gloire.
Véronique Harvey Lire la critique complèteVoir
Directeur d'acteurs - d'actrices! - hors pair, Xavier Dolan sait aussi créer des tableaux d'une époustouflante beauté, d'une poésie rappelant l'univers des Klimt et Magritte.
Manon Dumais Lire la critique complèteLa Presse
Parsemé d'apartés plus oniriques et tapissé de tubes de l'époque, Laurence Anyways se distingue par ses excès. Dolan y affiche un sens assassin de la réplique et assume parfaitement son penchant vers le mélodrame.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteFilms du Québec
Son scénario convaincant, magnifiquement servi par une distribution sans faille, sa mise en scène soignée et une direction d'acteurs impressionnante en font une œuvre à part - encore une de la part de Dolan - et qui marque une nouvelle étape dans la carrière déjà impressionnante de ce cinéaste hors du commun.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète