L'exorciste : Le croyant
v.o.a. : The Exorcist: Believer
Le photographe Victor élève seul sa fille Angela. L'adolescente n'a jamais connu sa mère, qui est morte à sa naissance. Après l'école, Angela et son amie Katherine partent marcher dans le bois et elles disparaissent pendant trois jours. Lorsqu'on les retrouve, leur état de santé semble normal, mais elles ne se souviennent de rien. Les adolescentes sont rapidement sujettes à des comportements violents qui inquiètent leur entourage. Le diable semble contrôler leur corps et personne n'est capable de les guérir. Lorsque Victor découvre qu'une ancienne actrice a déjà vécu une expérience similaire avec sa fille, il décide d'aller à sa rencontre.
Distribution
- Leslie Odom Jr. (Victor Fielding)
- Lidya Jewett (Angela)
- Ellen Burstyn (Chris MacNeil)
- Ann Dowd
- Olivia Marcum (Katherine)
- E.J. Bonilla (Père Maddox)
- Raphael Sbarge (Pasteur)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Blumhouse Productions
- Morgan Creek Entertainment
distributeur
- Universal Pictures
Liens
Revues de presse
Cinema Blend
It's the legacyquel formula, and like Halloween and Scream, it's another cinematic success... albeit an overcooked one.
Lire la critique complèteJoblo.com
David Gordon Green's The Exorcist: Believer is an abysmal, dull attempt to relaunch the franchise in the 21st century.
Lire la critique complèteLa Presse
Ressassant sans imagination les codes du genre, le réalisateur balance des images quasi subliminales et quelques effets-choc qui font à peine sourciller.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Malgré une prémisse intrigante, L'exorciste : Le croyant fera perdre la foi aux plus ardents défenseurs de la célèbre saga d'horreur. Celle-ci semble officiellement condamnée à se doter de suites sans saveur et, ironiquement, sans âme.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Il en résulte film hybride qui hésite entre une hommage à l'oeuvre originale et une nouvelle tentative d'aborder le sujet. The Exorcist: Believer demeure néanmoins un « bon » film, ne serait-ce que par l'envoûtement discret qu'il procure même s'il ne sait pas toujours où se diriger.
Lire la critique complète