Ésimésac
v.o.f.s.-t.a. : Ésimésac
Les habitants de Saint-Élie-de-Caxton peinent à mettre de la nourriture dans leurs assiettes. Ésimésac, le dernier-né de la famille Gélinas, a l'idée de bâtir un jardin communautaire, et il met sa grande force à contribution, ce qui ne manque pas d'attirer l'attention de la fille du forgeron Riopel. Lorsque la compagnie de chemin de fer laisse croire aux villageois que le train pourrait s'arrêter chez eux, ils s'imaginent déjà riches. Le forgeron, Ésimésac et les ouvriers se mettent donc au travail pour produire des rails à bon prix pour le chemin de fer, tandis que la jeune soeur d'Ésimésac rêve encore de terminer le jardin.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Cité-Amérique
distributeur
- Alliance Vivafilm
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Heureusement, cette vision autarcique et un brin passéiste de la ruralité québécoise est atténuée par les nombreuses trouvailles poétiques de Pellerin, présentes tant au sein des dialogues, très imagés, que dans les jolies métaphores visuelles, dont une étonnamment osée.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complèteLa Presse
Mais bon, il faut prendre Ésimésac pour ce qu'il est : un beau conte avec son avalanche de métaphores, de fantastique, de parlure colorée, d'expressions « pelleriniennes » et de personnages attachants parce qu'ils font, comme chacune d'entre nous, ce qu'ils peuvent pour accéder au bonheur.
André Duchesne Lire la critique complèteVoir
Là où le bât blesse dans cette histoire de construction de chemin de fer teintée de corruption, c'est dans le rythme laborieux qui finit par plomber le tout et empêcher la poésie de prendre véritablement son élan.
Manon Dumais Lire la critique complèteFilms du Québec
Si l'aspect conte fantastique nous autorise à pardonner les nombreuses incertitudes chronologiques ou historiques, on ne peut être aussi indulgent sur la facilité des dialogues qui font trop souvent la part belle aux calembours douteux et aux farces éculées.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète