Cinquante nuances de Grey
v.o.a. : Fifty Shades of Grey
Anastasia Steele, une étudiante en littérature ingénue, doit remplacer sa colocataire et amie Kate pour aller réaliser une entrevue avec un riche et mystérieux entrepreneur, Christian Grey. Après une première rencontre improbable qui aura troublé la jeune femme, ces deux êtres bien différents trouveront un moyen de se revoir. La jeune femme tombera rapidement sous le charme de l'homme d'affaires, alors que lui semble incapable de la laisser aller. Pourtant, Grey cache un passé trouble et un grand secret qui pourrait bien affecter le cours de leur relation. Anastasia acceptera-t-elle de signer un contrat de soumission que lui propose Grey, dans le seul but de pouvoir être avec lui?
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Focus Features
- Michael De Luca Productions
- Trigger Street Productions
distributeur
- Universal Pictures
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Reste que, face au peu charismatique Jamie Dornan, Dakota Johnson s'en tire un peu mieux, avec un jeu plus habité et expressif.
Lire la critique complèteSéquences
Bien moins phallique que le parapluie du Professeur Tournesol et trois fois plus mortel que la Critique de la raison pure de Kant, Dornan rend ses répliques avec un pouvoir de conviction quasi nul.
Lire la critique complèteCinémaniak.net
Si avec un certain recul, le phénomène va sûrement devenir un cas d'étude intéressant au niveau sociologique ou au niveau du marketing, du point de vue cinématographique, le film est d'une nullité sans nom.
Lire la critique complèteEntertainment Weekly
The movie Fifty Shades of Grey is considerably better written than the book.
Lire la critique complèteLa Presse
(...) dans sa «salle de jeu», où les cinéphiles ne pénétreront que pour très peu de temps, lors de scènes étonnamment chastes qui font passer les films des années 80 et 90 pour complètement délurés en comparaison.
Lire la critique complèteCinéfilic
Ainsi, le film ressemble à un petit mélodrame sentimental sans intérêt, ponctué de scènes de sexe insipides dignes du mauvais cinéma commercial des années 80.
Lire la critique complèteRolling Stone
I'm disappointed. Twisted me! The true audiences for Fifty Shades of Grey are gluttons for punishment — by boredom.
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