Un lancer à un million de dollars
v.o.a. : Million Dollar Arm
JB Bernstein vient de fonder sa propre agence sportive et cherche à attirer un gros client. À court d'options, il décide de se rendre en Inde afin de transformer un joueur de cricket en lanceur de baseball. Il parcourt donc le pays afin de dénicher la perle rare. Il trouve deux jeunes athlètes prometteurs, Rinku et Dinesh, qu'il invite chez lui en Amérique pour s'entraîner. Au fil des semaines, les deux jeunes sont confrontés aux différences culturelles entre leur pays d'origine et les États-Unis, tandis que JB cherche toujours à attirer des clients. Grâce à sa logeuse Brenda, JB réalise que les jeunes ont besoin de son accompagnement pour réussir.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Mayhem Pictures
- Roth Films
distributeur
- Walt Disney Pictures Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Quelques ficelles hollywoodiennes un peu manipulatrices apparaissent au dénouement, mais sans gâcher le plaisir que procure ce divertissement optimiste et inspirant.
Lire la critique complèteCinema Blend
Million Dollar Arm has some genuinely funny moments and features some legitimately gorgeous cinematography capturing the various Indian landscapes, but can never outrun the fact that its basic approach to its subject matter is flawed.
Lire la critique complèteLa Presse
Répétons-le: Million Dollar Arm n'aurait pas eu autant d'intérêt sans cette charmante odeur de curry. Que le tiers du film se déroule en Inde et que ses deux protagonistes soient d'authentiques Indiens lui confère une valeur ajoutée.
Lire la critique complèteJoblo.com
The movie's manipulative spirit, when combined with the very enjoyable performances from the three Indian natives, is just persuasive enough to make Million Dollar Arm a winning, though tad overlong, two hours.
Lire la critique complèteRolling Stone
Hamm, holding steady and true against a wash of cornball, makes Million Dollar Arm worth rooting for.
Lire la critique complèteAgence QMI
Le scénario de ce long métrage de 120 minutes est suffisamment bien ficelé pour qu'on ne s'ennuie pas une seule seconde.
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