Spring Breakers
v.o.a. : Spring Breakers
Amies depuis toujours, Brit, Candy, Cotty et Faith rêvent d'aller faire la fête au « spring break ». Les adolescentes n'ont cependant pas assez d'argent pour partir. Sur un coup de tête, elles décident de braquer un restaurant et de s'enfuir avec l'argent vers les plages de la Floride. Lorsqu'elles sont arrêtées, un rappeur et trafiquant de drogues connu sous le nom de « Alien » paie leur caution et les prend sous son aile. Avec lui, elles entrent dans un univers de grave criminalité et passent un « spring break » qu'elles ne risquent pas d'oublier.
Distribution
Réalisation
Scénarisation
studios
- Muse Productions
- Radar Pictures
- O' Salvation
- Division Films
- Iconoclast
distributeur
- VVS Films
Revues de presse
Médiafilm
La démonstration s'avère hélas creuse et immature, en dépit d'un traitement stylisé recherché, qui procure une hypnotique sensation d'apesanteur.
Lire la critique complèteCinema Blend
Korine musters pop-soaked schlock with ample style and a handful of stellar performances, notably from Gomez and Franco, who is off-the-charts amazing in this part.
Lire la critique complèteRolling Stone
Spring Breakers, beach-party fluff done as an art film by the reliably bizarre Harmony Korine, is a return to form for Franco.
Lire la critique complèteWorst Previews
It's amusing, maybe a little forlorn underneath that, and ultimately chilling beyond belief.
Lire la critique complèteCinéfilic
Mais cet univers que dépeint Harmony Korine n'est pas éternel et la grande force de sa mise en scène est de nous faire imperceptiblement glisser du rêve au cauchemar.
Lire la critique complèteCanoë
Le film est tout aussi morne et vide que ses personnages et il véhicule à merveille autant leur ennui que leur bêtise. Saisissez bien le message.
Lire la critique complèteLa Presse
On aura beau secouer Spring Breakers dans tous les sens, il n'en restera toujours que des images complaisantes plaquées sur un propos vaguement dénonciateur. Franchement, il n'y a rien là de très reluisant.
Lire la critique complèteVoir
Vainement, on attend un semblant de critique sociale alors que Korine remet ça en multipliant les scènes d'orgies d'une glauque sensualité, versant bêtement dans la vulgarité et le racolage. À force de vouloir provoquer à tout prix, Korine ne provoque finalement que l'ennui.
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